Lorsque Georges Favre-Jacot réunit en 1865 tous les métiers de l’horlogerie sous un même toit, inventant par là même l’idée de manufacture, il ne se doutait certainement pas que sa marque perpétuerait fidèlement son héritage au fil des époques qui allaient suivre.
Pourtant, près de cent-cinquante ans plus tard, l’esprit de ce visionnaire continue de vivre avec une intensité rare. Si Zenith n’a jamais quitté les lieux qui l’ont vu naître, au Locle, la marque à l’étoile n’a cessé d’explorer de nouveaux horizons horlogers !
En témoignent les plus de 300 brevets qu’elle a déposés. Des chronomètres de marine aux montres-bracelets, en passant par les montres de poche, plus de 600 mouvements entièrement conçus et réalisés au sein de la manufacture jalonnent sa riche histoire.
Si Zenith a démontré son savoir-faire dans toutes les complications majeures qu’elle maîtrise, il est un domaine dans lequel la marque s’illustre particulièrement : celui de la chronométrie. Un domaine dans lequel Zenith a été distingué par 2.333 prix à ce jour, un record absolu.
Si la quête de la précision ultime guide depuis toujours ses créations, c’est en 1969 que la marque signe l’une des plus grandes avancées de la mesure du temps. Créé cette année-là, le mouvement El Primero est non seulement le premier chronographe automatique intégré de l’histoire, mais bat à la fréquence exceptionnelle de 36’000 alternances/heure, pour une précision au 1/10e de seconde. Depuis, ce mouvement de légende n’a cessé d’évoluer au sein d’une collection éponyme.
Pourtant, près de cent-cinquante ans plus tard, l’esprit de ce visionnaire continue de vivre avec une intensité rare. Si Zenith n’a jamais quitté les lieux qui l’ont vu naître, au Locle, la marque à l’étoile n’a cessé d’explorer de nouveaux horizons horlogers !
En témoignent les plus de 300 brevets qu’elle a déposés. Des chronomètres de marine aux montres-bracelets, en passant par les montres de poche, plus de 600 mouvements entièrement conçus et réalisés au sein de la manufacture jalonnent sa riche histoire.
Si Zenith a démontré son savoir-faire dans toutes les complications majeures qu’elle maîtrise, il est un domaine dans lequel la marque s’illustre particulièrement : celui de la chronométrie. Un domaine dans lequel Zenith a été distingué par 2.333 prix à ce jour, un record absolu.
Si la quête de la précision ultime guide depuis toujours ses créations, c’est en 1969 que la marque signe l’une des plus grandes avancées de la mesure du temps. Créé cette année-là, le mouvement El Primero est non seulement le premier chronographe automatique intégré de l’histoire, mais bat à la fréquence exceptionnelle de 36’000 alternances/heure, pour une précision au 1/10e de seconde. Depuis, ce mouvement de légende n’a cessé d’évoluer au sein d’une collection éponyme.
Si Christophe Colomb a découvert la terre de tous les possibles, l’Academy Hurricane qui porte son nom déchiffre la clé pour résoudre la triple équation posée à la précision d’une montre-bracelet : la haute fréquence d’oscillation pour le séquençage du temps, la neutralisation des effets de la gravité terrestre qui nuisent à la marche, ainsi que la suppression des variations d’isochronisme.
En d’autres termes, il s’agit de résoudre les problèmes liés au porter (gravité) et à la durée de marche (perte d’isochronisme –oscillations identiques de l’organe régulateur- au fur et à mesure que la montre se décharge), tout en assurant une remarquable précision de la mesure du temps (vitesse des mouvements du balancier).
Si la majorité des garde-temps du XVIe, XVIIe et XVIIIe siècle étaient équipées d’une fusée pour régulariser la force motrice transmise au rouage, la réalité est aujourd’hui tout autre. De fait, les manufactures capables de transposer ce mécanisme dans le volume restreint d’une montre-bracelet sont si rares qu’elles se comptent sur les doigts d’une main. Avec son Academy Christophe Colomb Hurricane, Zenith fait désormais partie de ce club ô combien fermé.
Si la marque à l’étoile est l’unique Manufacture à maîtriser le système de Gravity Control –primé lors du Grand Prix d’Horlogerie de Genève en 2011 dans la catégorie montres à complications– qu’elle a inventé après cinq ans d’intenses développements, il lui en aura fallu deux autres pour mettre au point le mécanisme de transmission fusée-chaîne.
Car entre les chronomètres de marine dont la Hurricane est inspirée et une montre-bracelet de seulement 45 mm de diamètre, il y a un monde que Zenith a réussi à dompter au prix d’un travail acharné. Car il n’a évidemment jamais été question d’utiliser pour le remontage une clé de montre coulissant dans une cavité jusqu’au cadran, tel que cela se pratiquait aux siècles passés ! Cette solution n’était au demeurant pas envisageable dès lors que Zenith voulait une montre étanche, donc dépourvue de toute ouverture, d’où le recours nécessaire à une couronne de remontage…
En d’autres termes, il s’agit de résoudre les problèmes liés au porter (gravité) et à la durée de marche (perte d’isochronisme –oscillations identiques de l’organe régulateur- au fur et à mesure que la montre se décharge), tout en assurant une remarquable précision de la mesure du temps (vitesse des mouvements du balancier).
Si la majorité des garde-temps du XVIe, XVIIe et XVIIIe siècle étaient équipées d’une fusée pour régulariser la force motrice transmise au rouage, la réalité est aujourd’hui tout autre. De fait, les manufactures capables de transposer ce mécanisme dans le volume restreint d’une montre-bracelet sont si rares qu’elles se comptent sur les doigts d’une main. Avec son Academy Christophe Colomb Hurricane, Zenith fait désormais partie de ce club ô combien fermé.
Si la marque à l’étoile est l’unique Manufacture à maîtriser le système de Gravity Control –primé lors du Grand Prix d’Horlogerie de Genève en 2011 dans la catégorie montres à complications– qu’elle a inventé après cinq ans d’intenses développements, il lui en aura fallu deux autres pour mettre au point le mécanisme de transmission fusée-chaîne.
Car entre les chronomètres de marine dont la Hurricane est inspirée et une montre-bracelet de seulement 45 mm de diamètre, il y a un monde que Zenith a réussi à dompter au prix d’un travail acharné. Car il n’a évidemment jamais été question d’utiliser pour le remontage une clé de montre coulissant dans une cavité jusqu’au cadran, tel que cela se pratiquait aux siècles passés ! Cette solution n’était au demeurant pas envisageable dès lors que Zenith voulait une montre étanche, donc dépourvue de toute ouverture, d’où le recours nécessaire à une couronne de remontage…
Au fur et à mesure qu’une montre mécanique se décharge, son mouvement perd en amplitude, et donc en précision.
Avec un système de transmission fusée-chaîne, la force motrice demeure au contraire totalement stable durant toute la durée de la réserve de marche.
Alors que le ressort en son coeur imprime sa force au barillet, la géométrie hélicoïdale de la fusée –issue d’un calcul complexe spécifiquement pour le ressort- va compenser les variations de force du barillet qui vont s’installer progressivement.
La transmission entre le barillet et la fusée de l’Academy Christophe Colomb Hurricane est assurée par une chaîne de 585 composants pour 18 centimètres de long ! D’une complexité extrême, celle-ci fait l’objet d’une construction alternant maillons doubles et intermédiaires, tandis que les dimensions des rivets ont été savamment calculées afin d’en délimiter le jeu. Si la manipulation de la chaîne requiert un savoir-faire et un soin infinis, elle est capable de résister à une force de traction de plus de 3 kilogrammes une fois montée.
Durant toute la durée de la réserve de marche, le barillet transmet sa force à la fusée par la chaîne qui vient s’enrouler autour du barillet. Ajustant les variations de tension, la fusée transmet sa force constante au rouage qui va à son tour l’imprimer à la roue d’échappement en silicium dans la cage gyroscopique. S’il faut plus de 50 heures –durée de la réserve de marche– pour que la chaîne vienne s’enrouler autour du barillet, le remontage par la tige réserve un spectacle captivant. Les quelques secondes qu’il requiert permettent en effet de voir fusée et barillet tourner dans le sens opposé au sens de la marche, afin que la chaîne vienne s’enrouler à nouveau autour de la fusée, et par là même armer son ressort.
La forme de la fusée de ce modèle Hurricane a été dictée par la force optimale que les maîtres-horlogers de Zenith ont voulu donner au barillet. Sa silhouette rappelant celle d’un cône ainsi que ses dimensions résultent de patients calculs mêlant notamment force théorique et durée de la réserve de marche. Des calculs particulièrement complexes, réalisés pour chacun des sept étages de la construction. Sans l’intégration de tous les métiers au sein de la Manufacture Zenith et en particulier celui du prototypage des mouvements, et la mise en oeuvre d’équipements sophistiqués, cette fusée n’aurait peut-être jamais pu être réalisée. Telle est la force de la Manufacture intégrée, sa réactivité étant un autre atout de taille.
Si la transmission fusée-chaîne supprime les variations d’isochronisme, l’Academy Christophe Colomb Hurricane annule un autre effet nuisible à la marche d’une montre mécanique : celui de l’attraction terrestre. Partant du principe que le maintien de l’organe régulateur en position horizontale engendre la meilleure amplitude possible du balancier et génère ainsi la meilleure précision horaire, Zenith a imaginé et breveté un système révolutionnaire pour que l’organe régulateur et l’échappement soient maintenus en permanence dans cette position : le Gravity Control. Système avant-gardiste révélant l’audace de la marque, le Gravity Control est tout à la fois un hommage à l’histoire, puisqu’il s’inspire des chronomètres de marine que Zenith produisait autrefois.
Le Gravity Control emprunte à ces instruments de légende le principe de suspension à cardans, sorte d’articulation universelle sur une tige introduite au XVIe siècle sur les boussoles de marine pour qu’elles tournent et conservent leur position horizontale, même lorsqu’elles ne sont plus alignées en raison des mouvements du bateau. Lorsque plus tard les montres de poche sont apparues, ces mêmes moyens n’ont pas pu être appliqués, car ils auraient exigé la présence d’un mécanisme volumineux de 50 mm dans une poche. Le tourbillon a alors été inventé par Breguet pour compenser les écarts de la montre, partant du principe qu’elle restait en position verticale dans une poche et que seule la tige de remontoir oscillait vers la gauche ou la droite.
Aujourd’hui, les tourbillons classiques des montres-bracelets continuent de corriger ces positions en les égalisant sur les quatre axes verticaux chaque minute. Les tourbillons inclinés ou multiaxes établissent davantage de positions, même s’ils ne sont maintenus que brièvement en position horizontale et ne font que corriger la somme de plusieurs erreurs induites par les nombreux mouvements du poignet. Avec son mécanisme gyroscopique autorégulateur, le système de Gravity Control permet de maintenir l’échappement en position horizontale permanente, quelle que soit l’inclinaison du poignet, et signe par là même l’évolution ultime du chronomètre de marine.
Côté design, sous une glace saphir taillée d’un bloc éclate le raffinement mécanique du système fusée-chaîne, dévoilant le barillet et la fusée autour desquels vient s’enrouler la chaîne. A 6h, la cage gyroscopique, véritable joyau horloger composé de 173 éléments, envoûte par ses tournoiements aériens. Aux rondeurs du dôme qui la sublime font écho les galbes du cadran ajouré des heures et minutes à 12h, tandis que les compteurs de la petite seconde et de la réserve de marche, tous deux en or guilloché main, arborent également une forme bombée. Côté ponts, le fond saphir révèle une mappemonde gravée au laser sur le contrepoids du module gyroscopique, dans un éclatant hommage à l’esprit voyageur de Christophe Colomb. Série limitée à 25 exemplaires.
Avec un système de transmission fusée-chaîne, la force motrice demeure au contraire totalement stable durant toute la durée de la réserve de marche.
Alors que le ressort en son coeur imprime sa force au barillet, la géométrie hélicoïdale de la fusée –issue d’un calcul complexe spécifiquement pour le ressort- va compenser les variations de force du barillet qui vont s’installer progressivement.
La transmission entre le barillet et la fusée de l’Academy Christophe Colomb Hurricane est assurée par une chaîne de 585 composants pour 18 centimètres de long ! D’une complexité extrême, celle-ci fait l’objet d’une construction alternant maillons doubles et intermédiaires, tandis que les dimensions des rivets ont été savamment calculées afin d’en délimiter le jeu. Si la manipulation de la chaîne requiert un savoir-faire et un soin infinis, elle est capable de résister à une force de traction de plus de 3 kilogrammes une fois montée.
Durant toute la durée de la réserve de marche, le barillet transmet sa force à la fusée par la chaîne qui vient s’enrouler autour du barillet. Ajustant les variations de tension, la fusée transmet sa force constante au rouage qui va à son tour l’imprimer à la roue d’échappement en silicium dans la cage gyroscopique. S’il faut plus de 50 heures –durée de la réserve de marche– pour que la chaîne vienne s’enrouler autour du barillet, le remontage par la tige réserve un spectacle captivant. Les quelques secondes qu’il requiert permettent en effet de voir fusée et barillet tourner dans le sens opposé au sens de la marche, afin que la chaîne vienne s’enrouler à nouveau autour de la fusée, et par là même armer son ressort.
La forme de la fusée de ce modèle Hurricane a été dictée par la force optimale que les maîtres-horlogers de Zenith ont voulu donner au barillet. Sa silhouette rappelant celle d’un cône ainsi que ses dimensions résultent de patients calculs mêlant notamment force théorique et durée de la réserve de marche. Des calculs particulièrement complexes, réalisés pour chacun des sept étages de la construction. Sans l’intégration de tous les métiers au sein de la Manufacture Zenith et en particulier celui du prototypage des mouvements, et la mise en oeuvre d’équipements sophistiqués, cette fusée n’aurait peut-être jamais pu être réalisée. Telle est la force de la Manufacture intégrée, sa réactivité étant un autre atout de taille.
Si la transmission fusée-chaîne supprime les variations d’isochronisme, l’Academy Christophe Colomb Hurricane annule un autre effet nuisible à la marche d’une montre mécanique : celui de l’attraction terrestre. Partant du principe que le maintien de l’organe régulateur en position horizontale engendre la meilleure amplitude possible du balancier et génère ainsi la meilleure précision horaire, Zenith a imaginé et breveté un système révolutionnaire pour que l’organe régulateur et l’échappement soient maintenus en permanence dans cette position : le Gravity Control. Système avant-gardiste révélant l’audace de la marque, le Gravity Control est tout à la fois un hommage à l’histoire, puisqu’il s’inspire des chronomètres de marine que Zenith produisait autrefois.
Le Gravity Control emprunte à ces instruments de légende le principe de suspension à cardans, sorte d’articulation universelle sur une tige introduite au XVIe siècle sur les boussoles de marine pour qu’elles tournent et conservent leur position horizontale, même lorsqu’elles ne sont plus alignées en raison des mouvements du bateau. Lorsque plus tard les montres de poche sont apparues, ces mêmes moyens n’ont pas pu être appliqués, car ils auraient exigé la présence d’un mécanisme volumineux de 50 mm dans une poche. Le tourbillon a alors été inventé par Breguet pour compenser les écarts de la montre, partant du principe qu’elle restait en position verticale dans une poche et que seule la tige de remontoir oscillait vers la gauche ou la droite.
Aujourd’hui, les tourbillons classiques des montres-bracelets continuent de corriger ces positions en les égalisant sur les quatre axes verticaux chaque minute. Les tourbillons inclinés ou multiaxes établissent davantage de positions, même s’ils ne sont maintenus que brièvement en position horizontale et ne font que corriger la somme de plusieurs erreurs induites par les nombreux mouvements du poignet. Avec son mécanisme gyroscopique autorégulateur, le système de Gravity Control permet de maintenir l’échappement en position horizontale permanente, quelle que soit l’inclinaison du poignet, et signe par là même l’évolution ultime du chronomètre de marine.
Côté design, sous une glace saphir taillée d’un bloc éclate le raffinement mécanique du système fusée-chaîne, dévoilant le barillet et la fusée autour desquels vient s’enrouler la chaîne. A 6h, la cage gyroscopique, véritable joyau horloger composé de 173 éléments, envoûte par ses tournoiements aériens. Aux rondeurs du dôme qui la sublime font écho les galbes du cadran ajouré des heures et minutes à 12h, tandis que les compteurs de la petite seconde et de la réserve de marche, tous deux en or guilloché main, arborent également une forme bombée. Côté ponts, le fond saphir révèle une mappemonde gravée au laser sur le contrepoids du module gyroscopique, dans un éclatant hommage à l’esprit voyageur de Christophe Colomb. Série limitée à 25 exemplaires.
Spécificités techniques de la montre Zenith Academy Christophe Colomb Hurricane
Mouvement El Primero 8805, manuel
Un mécanisme gyroscopique unique qui maintient l’organe régulateur en position parfaitement horizontale
Calibre : 16 ½ ``` (Diamètre : 37 mm)
Épaisseur : 5,85 mm
Composants : 354
Cage gyroscopique faite de 173 composants
Chaîne faite de 585 composants
Rubis : 53
Fréquence : 36 000 alt/h (5 Hz)
Réserve de marche : 50 heures min.
Fonctions
Heures et minutes excentrées à 12 heures
Module auto-régulateur de contrôle de la gravité à
6 heures
Petite seconde à 9 heures
Indicateur de réserve de marche à 3 heures
Transmission fusée-chaîne sous le cadran des heures/minutes
Boîtier : or rose 18 carats
Diamètre : 45 mm
Épaisseur : 14,35 mm
21,40 mm (avec glace saphir bombée)
Glace et fond : Verre saphir bombé traité antireflet sur ses deux faces, dômes protégeant le module Christophe Colomb.
Étanchéité : 30 mètres
Cadran : Or avec guilloché fait main
Index des heures : Laqués noirs
Aiguilles : Acier bleui
Bracelet en cuir d’alligator brun doublé de caoutchouc
Triple boucle déployante en or 18 carats
Référence : 27.00.2218.713
Référence : 27.17.0003.940
Un mécanisme gyroscopique unique qui maintient l’organe régulateur en position parfaitement horizontale
Calibre : 16 ½ ``` (Diamètre : 37 mm)
Épaisseur : 5,85 mm
Composants : 354
Cage gyroscopique faite de 173 composants
Chaîne faite de 585 composants
Rubis : 53
Fréquence : 36 000 alt/h (5 Hz)
Réserve de marche : 50 heures min.
Fonctions
Heures et minutes excentrées à 12 heures
Module auto-régulateur de contrôle de la gravité à
6 heures
Petite seconde à 9 heures
Indicateur de réserve de marche à 3 heures
Transmission fusée-chaîne sous le cadran des heures/minutes
Boîtier : or rose 18 carats
Diamètre : 45 mm
Épaisseur : 14,35 mm
21,40 mm (avec glace saphir bombée)
Glace et fond : Verre saphir bombé traité antireflet sur ses deux faces, dômes protégeant le module Christophe Colomb.
Étanchéité : 30 mètres
Cadran : Or avec guilloché fait main
Index des heures : Laqués noirs
Aiguilles : Acier bleui
Bracelet en cuir d’alligator brun doublé de caoutchouc
Triple boucle déployante en or 18 carats
Référence : 27.00.2218.713
Référence : 27.17.0003.940