Ces trois révolutionnaires font écho aux trois grandes découvertes de l’horlogerie dont ces modèles sont dotés : le gravity control (système breveté), une transmission fusée-chaîne et une fréquence hors norme de 36 000 alternances par heure.
Proposées dans une édition exceptionnelle de trois exemplaires, les trois pièces (regroupées dans un même coffret) se parent d’un habillage qui fait appel à des métiers d’art devenus rares dans la haute horlogerie : l’émaillage, la microgravure et la micropeinture.
Comme tous les modèles de la ligne, l’Academy Christophe Colomb Hurricane Revolución se distingue au premier regard du reste de la collection Zenith. Ses cadrans font en effet la part belle au mouvement, au moyen d’une architecture ouverte qui permet d’admirer ses trois mécanismes inédits : le barillet avec transmission fusée-chaîne, à 10h30 et 1h30, le module gyroscopique de gravity control – une révolution dans la haute horlogerie – et l’organe régulateur haute fréquence à 6h.
Les trois cadrans auxiliaires en or –heures/minutes à 12h, petite seconde à 9h et réserve de marche à 4h– ont été finement guillochés, puis émaillés, dotés d’aiguilles en acier bleui et vissés à la platine à l’aide de vis elles aussi en acier bleui. La platine a été évidée pour épouser la forme des cadrans et du module gyroscopique. Sur la structure restante, extrêmement légère, cinq étoiles, dont celle de Zenith, ont été gravées en relief, puis recouverte d’un vernis couleur bleu nuit. Parallèlement, le décor du contrepoids du système de gravity control est une représentation de l’hémisphère sud réalisée entièrement à la main en micropeinture.
Côté fond, cette montre réserve trois surprises de taille. En effet, et comme son nom l’indique, le garde-temps a été décliné en trois versions rendant hommage à trois figures de révolutions sud-américaines : Simón Bolívar, Ernesto « Che » Guevara et Emiliano Zapata. De véritables tableaux miniatures réalisés par les meilleurs artisans d’art à l’aide d’un système sophistiqué d’appliques en or fixées sur le mouvement.
Sur le premier modèle, on remarque au premier plan, à gauche du contre-poids du module gyroscopique représentant l’hémisphère sud, le portrait du général et homme politique Simón Bolívar. Au-dessus de lui, son épée et, à droite du contre-poids, ses pistolets. Au second plan figure l’homme montant un cheval blanc qu’on devine cabré. Finement gravés et peints à la main, ces détails sont réalisés avec la plus grande délicatesse au microscope.
Proposées dans une édition exceptionnelle de trois exemplaires, les trois pièces (regroupées dans un même coffret) se parent d’un habillage qui fait appel à des métiers d’art devenus rares dans la haute horlogerie : l’émaillage, la microgravure et la micropeinture.
Comme tous les modèles de la ligne, l’Academy Christophe Colomb Hurricane Revolución se distingue au premier regard du reste de la collection Zenith. Ses cadrans font en effet la part belle au mouvement, au moyen d’une architecture ouverte qui permet d’admirer ses trois mécanismes inédits : le barillet avec transmission fusée-chaîne, à 10h30 et 1h30, le module gyroscopique de gravity control – une révolution dans la haute horlogerie – et l’organe régulateur haute fréquence à 6h.
Les trois cadrans auxiliaires en or –heures/minutes à 12h, petite seconde à 9h et réserve de marche à 4h– ont été finement guillochés, puis émaillés, dotés d’aiguilles en acier bleui et vissés à la platine à l’aide de vis elles aussi en acier bleui. La platine a été évidée pour épouser la forme des cadrans et du module gyroscopique. Sur la structure restante, extrêmement légère, cinq étoiles, dont celle de Zenith, ont été gravées en relief, puis recouverte d’un vernis couleur bleu nuit. Parallèlement, le décor du contrepoids du système de gravity control est une représentation de l’hémisphère sud réalisée entièrement à la main en micropeinture.
Côté fond, cette montre réserve trois surprises de taille. En effet, et comme son nom l’indique, le garde-temps a été décliné en trois versions rendant hommage à trois figures de révolutions sud-américaines : Simón Bolívar, Ernesto « Che » Guevara et Emiliano Zapata. De véritables tableaux miniatures réalisés par les meilleurs artisans d’art à l’aide d’un système sophistiqué d’appliques en or fixées sur le mouvement.
Sur le premier modèle, on remarque au premier plan, à gauche du contre-poids du module gyroscopique représentant l’hémisphère sud, le portrait du général et homme politique Simón Bolívar. Au-dessus de lui, son épée et, à droite du contre-poids, ses pistolets. Au second plan figure l’homme montant un cheval blanc qu’on devine cabré. Finement gravés et peints à la main, ces détails sont réalisés avec la plus grande délicatesse au microscope.
Simón Bolívar (1783-1830)
Quel homme politique aujourd’hui peut se targuer d’avoir donné son nom à un pays ? Très jeune, le Vénézuélien Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios se révèle plus doué pour une carrière militaire que pour les études. Il s’engage donc à quatorze ans et devient sous-lieutenant deux ans plus tard.
En 1798, il part une première fois pour l’Europe, étudie la politique et ses théories -comme le droit naturel et le contractualisme, piliers de la gestion politique de l’époque. En 1802, il repart pour l’Europe et se familiarise avec la pensée du vieux continent, sur laquelle il s’appuiera quelques années plus tard. Devenu général et homme politique, nationaliste et anti-impérialiste, il participe activement, dès 1813, à l’indépendance de la Bolivie, de l’Equateur, du Panama, du Pérou et du Vénézuéla.
C’est cette année-là qu’il se voit gratifié du titre honorifique de Libertador, qui reste aujourd’hui encore associé à son nom. Envoyé en mission à Londres, Bolívar réussit à obtenir des Anglais qu’ils fassent pression sur les Espagnols en faveur des intérêts vénézuéliens. En 1815, il s’exile en Jamaïque pour méditer sur l’avenir des Amériques et le sort de différents pays comme le Vénézuéla, le Mexique ou l’Argentine. Il y rédige la « Lettre de Jamaïque » dans laquelle transparaît l’influence du siècle des Lumières et de ses grands penseurs comme Montesquieu, son auteur favori.
De retour au Vénézuéla, il contribue, dès 1819, à la création de la Grande Colombie, nom qu’il choisit en hommage à Christophe Colomb, dont il sera le premier président en 1821. Le pays créé cette année-là sera divisé, en 1830, en trois pays: la Colombie, l’Equateur et le Vénézuéla. Simón Bolívar reste une figure emblématique de l’émancipation des colonies espagnoles d’Amérique du Sud. Outre la Bolivie, son nom est aussi celui d’une ville du Venezuela (Ciudad Bolívar), d’un département de la Colombie.
En 1798, il part une première fois pour l’Europe, étudie la politique et ses théories -comme le droit naturel et le contractualisme, piliers de la gestion politique de l’époque. En 1802, il repart pour l’Europe et se familiarise avec la pensée du vieux continent, sur laquelle il s’appuiera quelques années plus tard. Devenu général et homme politique, nationaliste et anti-impérialiste, il participe activement, dès 1813, à l’indépendance de la Bolivie, de l’Equateur, du Panama, du Pérou et du Vénézuéla.
C’est cette année-là qu’il se voit gratifié du titre honorifique de Libertador, qui reste aujourd’hui encore associé à son nom. Envoyé en mission à Londres, Bolívar réussit à obtenir des Anglais qu’ils fassent pression sur les Espagnols en faveur des intérêts vénézuéliens. En 1815, il s’exile en Jamaïque pour méditer sur l’avenir des Amériques et le sort de différents pays comme le Vénézuéla, le Mexique ou l’Argentine. Il y rédige la « Lettre de Jamaïque » dans laquelle transparaît l’influence du siècle des Lumières et de ses grands penseurs comme Montesquieu, son auteur favori.
De retour au Vénézuéla, il contribue, dès 1819, à la création de la Grande Colombie, nom qu’il choisit en hommage à Christophe Colomb, dont il sera le premier président en 1821. Le pays créé cette année-là sera divisé, en 1830, en trois pays: la Colombie, l’Equateur et le Vénézuéla. Simón Bolívar reste une figure emblématique de l’émancipation des colonies espagnoles d’Amérique du Sud. Outre la Bolivie, son nom est aussi celui d’une ville du Venezuela (Ciudad Bolívar), d’un département de la Colombie.
Si Christophe Colomb est l’homme d’une découverte majeure dans l’histoire de l’humanité, le garde-temps qui porte son nom abrite un mouvement qui met trois découvertes horlogères majeures au service d’une précision sans faille: un organe régulateur à haute fréquence d’oscillation (36 000 alternances/heure) permettant de séquencer le temps en dixièmes de seconde, un système de transmission fusée-chaîne compensant les variations de force du barillet lorsqu’il se désarme et un module breveté de contrôle de gravité (gravity control) qui neutralise les effets de la gravité terrestre sur la marche de la montre. Autrement dit, cette montre vient à bout des problèmes liés au porter (gravité) et à la durée de marche (baisse du couple), tout en assurant une remarquable précision dans la mesure du temps (vitesse d’oscillation du balancier). Ces performances tiennent à un mouvement d’exception comptant 939 composants, dont 354 pour le calibre proprement dit et 585 pour la transmission fusée-chaîne.
À mesure qu’un mouvement mécanique se décharge, il perd en amplitude (l’angle d’oscillation du balancier se réduit) et donc en précision. Il convient donc de compenser la diminution progressive de la force du barillet. Avec la géométrie hélicoïdale de sa fusée, le système de transmission fusée-chaîne permet à la force motrice de rester parfaitement stable, même lorsque le ressort du barillet se détend. Si jusqu’au XVIIIe siècle, les montres de poche étaient équipées d’une fusée, rares sont aujourd’hui les marques horlogères capables de transposer ce mécanisme dans le volume restreint d’une montre-bracelet.
Au terme de deux ans de recherche et développement, la Manufacture Zenith y est pourtant parvenue. La transmission entre le barillet et la fusée est assurée par une chaîne composée de 585 composants et mesurant 18 centimètres de long. Alternant maillons doubles et maillons intermédiaires, cette architecture très complexe permet, une fois remontée, de résister à une force de traction de plus de trois kilos. Pendant toute la durée de la marche (50 heures minimum), le ressort-moteur transmet son énergie à la fusée par l’entremise de la chaîne qui s’enroule autour du barillet.
En ajustant les variations de tension, la fusée régularise la force qui est distribuée au rouage, puis à la roue d’échappement en silicium logée dans la cage gyroscopique. S’il faut plus de 50 heures à la chaîne pour se désarmer, c’est-à-dire s’enrouler autour du barillet, le remontage par la tige, qui ne prend que quelques secondes, permet de voir fusée et barillet tourner dans le sens opposé à la marche afin que la chaîne vienne à nouveau s’enrouler autour de la fusée. La forme de la fusée est dictée par la force optimale que les maîtres horlogers ont voulu donner au barillet.
Sa silhouette conique et ses dimensions résultent de calculs particulièrement complexes réalisés pour chacun de ses sept étages. Si ce mécanisme savant a vu le jour en un laps de temps si court, c’est parce que Zenith est une Manufacture intégrée: tous les métiers, dont le prototypage des mouvements, interagissent en permanence et des équipements sophistiqués sont mis en oeuvre rapidement. Ainsi, efficacité accrue et gain de temps deviennent les alliés de réalisations d’exception.
Si la transmission fusée-chaîne supprime les variations d’isochronisme (égalité de durée des oscillations), le mouvement annule un autre phénomène nuisant à sa bonne marche : l’influence de la gravité terrestre. Partant du principe selon lequel le maintien de l’organe régulateur en position horizontale garantit au balancier la meilleure amplitude possible, et donc la meilleure précision horaire, Zenith a imaginé –et breveté– un module révolutionnaire permettant au cœur du mouvement et à l’échappement de rester en permanence dans cette position.
Système d’avant-garde, le gravity control rend également hommage à l’histoire puisqu’il s’inspire des chronomètres de marine que Zenith produisait autrefois. Il emprunte à ces instruments ancestraux le principe de la suspension à cardan, introduit au XVIe siècle sur les boussoles de marine pour leur permettre de rester en position horizontale malgré les mouvements du bateau. Avec son mécanisme gyroscopique autorégulateur, le système de gravity control maintient donc en permanence l’organe régulateur dans cette position, quelle que soit l’inclinaison du poignet.
Un système qui a nécessité cinq années de développement et qui signe du même coup l’évolution ultime du chronomètre de marine. À ce jour, Zenith est la seule Manufacture à maîtriser ce système, qui a d’ailleurs été récompensé au Grand Prix d’Horlogerie de Genève en 2011 dans la catégorie montres à complications.
De telles pièces d’exception méritaient un écrin à leur mesure. Les trois garde-temps qui composent cette édition Academy Christophe Colomb Hurricane Revolución sont présentés dans une boîte en acajou ornée de garnitures d’angles et d’une serrure en os de boeuf. Les effigies de chacun des trois personnages qui donne son nom à chacune des pièces sont sérigraphiées sur un papyrus incrusté à même le couvercle. De plus, l’écrin a ceci de particulier qu’il peut se transformer, une fois les montres retirées, en une cave à cigares pouvant conserver jusqu’à 200 pièces dans d’excellentes conditions.
À mesure qu’un mouvement mécanique se décharge, il perd en amplitude (l’angle d’oscillation du balancier se réduit) et donc en précision. Il convient donc de compenser la diminution progressive de la force du barillet. Avec la géométrie hélicoïdale de sa fusée, le système de transmission fusée-chaîne permet à la force motrice de rester parfaitement stable, même lorsque le ressort du barillet se détend. Si jusqu’au XVIIIe siècle, les montres de poche étaient équipées d’une fusée, rares sont aujourd’hui les marques horlogères capables de transposer ce mécanisme dans le volume restreint d’une montre-bracelet.
Au terme de deux ans de recherche et développement, la Manufacture Zenith y est pourtant parvenue. La transmission entre le barillet et la fusée est assurée par une chaîne composée de 585 composants et mesurant 18 centimètres de long. Alternant maillons doubles et maillons intermédiaires, cette architecture très complexe permet, une fois remontée, de résister à une force de traction de plus de trois kilos. Pendant toute la durée de la marche (50 heures minimum), le ressort-moteur transmet son énergie à la fusée par l’entremise de la chaîne qui s’enroule autour du barillet.
En ajustant les variations de tension, la fusée régularise la force qui est distribuée au rouage, puis à la roue d’échappement en silicium logée dans la cage gyroscopique. S’il faut plus de 50 heures à la chaîne pour se désarmer, c’est-à-dire s’enrouler autour du barillet, le remontage par la tige, qui ne prend que quelques secondes, permet de voir fusée et barillet tourner dans le sens opposé à la marche afin que la chaîne vienne à nouveau s’enrouler autour de la fusée. La forme de la fusée est dictée par la force optimale que les maîtres horlogers ont voulu donner au barillet.
Sa silhouette conique et ses dimensions résultent de calculs particulièrement complexes réalisés pour chacun de ses sept étages. Si ce mécanisme savant a vu le jour en un laps de temps si court, c’est parce que Zenith est une Manufacture intégrée: tous les métiers, dont le prototypage des mouvements, interagissent en permanence et des équipements sophistiqués sont mis en oeuvre rapidement. Ainsi, efficacité accrue et gain de temps deviennent les alliés de réalisations d’exception.
Si la transmission fusée-chaîne supprime les variations d’isochronisme (égalité de durée des oscillations), le mouvement annule un autre phénomène nuisant à sa bonne marche : l’influence de la gravité terrestre. Partant du principe selon lequel le maintien de l’organe régulateur en position horizontale garantit au balancier la meilleure amplitude possible, et donc la meilleure précision horaire, Zenith a imaginé –et breveté– un module révolutionnaire permettant au cœur du mouvement et à l’échappement de rester en permanence dans cette position.
Système d’avant-garde, le gravity control rend également hommage à l’histoire puisqu’il s’inspire des chronomètres de marine que Zenith produisait autrefois. Il emprunte à ces instruments ancestraux le principe de la suspension à cardan, introduit au XVIe siècle sur les boussoles de marine pour leur permettre de rester en position horizontale malgré les mouvements du bateau. Avec son mécanisme gyroscopique autorégulateur, le système de gravity control maintient donc en permanence l’organe régulateur dans cette position, quelle que soit l’inclinaison du poignet.
Un système qui a nécessité cinq années de développement et qui signe du même coup l’évolution ultime du chronomètre de marine. À ce jour, Zenith est la seule Manufacture à maîtriser ce système, qui a d’ailleurs été récompensé au Grand Prix d’Horlogerie de Genève en 2011 dans la catégorie montres à complications.
De telles pièces d’exception méritaient un écrin à leur mesure. Les trois garde-temps qui composent cette édition Academy Christophe Colomb Hurricane Revolución sont présentés dans une boîte en acajou ornée de garnitures d’angles et d’une serrure en os de boeuf. Les effigies de chacun des trois personnages qui donne son nom à chacune des pièces sont sérigraphiées sur un papyrus incrusté à même le couvercle. De plus, l’écrin a ceci de particulier qu’il peut se transformer, une fois les montres retirées, en une cave à cigares pouvant conserver jusqu’à 200 pièces dans d’excellentes conditions.
Spécificités techniques de la montre Zenith Academy Christophe Colomb Hurricane Revoluction : Simon Bolivar
Mouvement El Primero 8805 à remontage manuel
Calibre : 16½ ’’’ (diamètre: 37 mm)
Épaisseur : 5,85 mm
Composants : 939
Rubis : 53
Fréquence : 36 000 alt/h (5 Hz)
Réserve de marche : 50 heures
Fonctions : heures et minutes dans un cadran décentré à 12h
Module gyroscopique « Gravity Control » autorégulateur à 6h
Petite seconde à 9h
Réserve de marche à 3h
Transmission fusée-chaîne à 10h30 et 1h30 sous le cadran heures/minutes
Boitier platine 950 de 45 mm
Épaisseur : 14,80 mm/21,80 mm
Glace : verre saphir bombé et traité antireflet sur les deux faces, domes de protection du module gyroscopique
Cadran : 3 cadrans en or émaillé
Aiguilles: or bleui
Étanchéité : 3 ATM
Décorations
Face : cadrans or en émail champlevé – Platine: vernis bleu avec logo et étoile Zenith façonnés à la main
Dos : portrait de Simón Bolívar en or façonné à la main – Simón Bolívar sur son cheval, son épée et ses pistolets: or façonné à la main orné de micropeinture – Pont de barillet et pont de rouage: micropeinture – Contre-poids de balancier gyroscopique en or: micropeinture illustrant l’hémisphère sud
Bracelet en alligator noir avec boucle déployante à 3 lames en or blanc 18 carats
Référence : 40.2213.8805/36.C714
Calibre : 16½ ’’’ (diamètre: 37 mm)
Épaisseur : 5,85 mm
Composants : 939
Rubis : 53
Fréquence : 36 000 alt/h (5 Hz)
Réserve de marche : 50 heures
Fonctions : heures et minutes dans un cadran décentré à 12h
Module gyroscopique « Gravity Control » autorégulateur à 6h
Petite seconde à 9h
Réserve de marche à 3h
Transmission fusée-chaîne à 10h30 et 1h30 sous le cadran heures/minutes
Boitier platine 950 de 45 mm
Épaisseur : 14,80 mm/21,80 mm
Glace : verre saphir bombé et traité antireflet sur les deux faces, domes de protection du module gyroscopique
Cadran : 3 cadrans en or émaillé
Aiguilles: or bleui
Étanchéité : 3 ATM
Décorations
Face : cadrans or en émail champlevé – Platine: vernis bleu avec logo et étoile Zenith façonnés à la main
Dos : portrait de Simón Bolívar en or façonné à la main – Simón Bolívar sur son cheval, son épée et ses pistolets: or façonné à la main orné de micropeinture – Pont de barillet et pont de rouage: micropeinture – Contre-poids de balancier gyroscopique en or: micropeinture illustrant l’hémisphère sud
Bracelet en alligator noir avec boucle déployante à 3 lames en or blanc 18 carats
Référence : 40.2213.8805/36.C714