Dès sa prime jeunesse, Bruno Belamich développe un goût prononcé pour le dessin. Très vite, sa curiosité naturelle et sa sensibilité se portent sur ce qui se cache derrière l’objet, sa conception.
Adolescent des années 1980, il vit à plein la révolution technologique qui accompagne cette période faste en innovations.
Il conserve de cette époque le souvenir de lieux emblématiques comme le Drugstore Publicis de Paris, ou de sa première calculatrice. Il se prend alors au jeu de l’innovation et de la performance, à une époque où les maîtres du genre viennent du Japon. De là, sa fascination précoce pour ce pays captivant qui lui montrait le monde du futur.
Son intérêt pour l’horlogerie naît avec la mutation engendrée par les premières montres à quartz. Les premières montres de sport emblématiques de cette période le marquent également durablement. À l’adolescence, fort de sa passion pour l’aviation, il développe un goût pour les belles mécaniques et l’instrumentation.
Son père lui offre sa première « belle montre » à l’occasion de ses 16 ans : une montre LIP (Roger Tallon) ; point de départ d’un intérêt grandissant pour l’horlogerie traditionnelle suisse, qui allie mécanique de précision et avancée technologique. L’intérêt devient une passion…
Adolescent des années 1980, il vit à plein la révolution technologique qui accompagne cette période faste en innovations.
Il conserve de cette époque le souvenir de lieux emblématiques comme le Drugstore Publicis de Paris, ou de sa première calculatrice. Il se prend alors au jeu de l’innovation et de la performance, à une époque où les maîtres du genre viennent du Japon. De là, sa fascination précoce pour ce pays captivant qui lui montrait le monde du futur.
Son intérêt pour l’horlogerie naît avec la mutation engendrée par les premières montres à quartz. Les premières montres de sport emblématiques de cette période le marquent également durablement. À l’adolescence, fort de sa passion pour l’aviation, il développe un goût pour les belles mécaniques et l’instrumentation.
Son père lui offre sa première « belle montre » à l’occasion de ses 16 ans : une montre LIP (Roger Tallon) ; point de départ d’un intérêt grandissant pour l’horlogerie traditionnelle suisse, qui allie mécanique de précision et avancée technologique. L’intérêt devient une passion…
A 20 ans Bruno Belamich voit dans le design, alors marginal auprès du grand public, un des marqueurs du futur.
Pour lui déjà, « chaque occasion était bonne pour transformer un instant en dessin ». C’est donc tout naturellement qu’il se dirige vers le métier de designer. Au début des années 1990, il intègre L’ENSCI (École Nationale Supérieure de Création Industrielle) et signe ses premières créations.
Il interrompt ses études pendant deux ans durant lesquels il effectue son service national dans la coopération en Nouvelle Calédonie. Ce premier grand voyage au bout du monde attise son esprit naturellement curieux et avide de découvertes. Il lui donne aussi l’envie d’explorer de nouveaux territoires.
Son attirance pour l’Asie le mène alors à Hong-Kong, Mecque de l’horlogerie, où il pose ses bagages. Il y effectue six mois de stage dans une agence de design qui lui offre une vision très claire de son futur métier et plonge dans la culture horlogère du pays. Au-delà, il trouve dans certains magazines avant-gardistes comme MONO une véritable source d’inspiration.
Riche de ses expériences, il rentre en Europe pour reprendre ses études, en marge desquelles il collabore avec la société Sinn. Cette marque horlogère allemande spécialisée dans les montres de navigation et l'instrumentation de bord lui offre ainsi sa première véritable immersion dans un univers qui le fascine : l’aéronautique. L’affinité est immédiate entre le jeune étudiant designer et le fabricant expérimenté de montres d'aviation, M. Helmut Sinn animés par la même passion pour l'horlogerie utilitaire.
Pour lui déjà, « chaque occasion était bonne pour transformer un instant en dessin ». C’est donc tout naturellement qu’il se dirige vers le métier de designer. Au début des années 1990, il intègre L’ENSCI (École Nationale Supérieure de Création Industrielle) et signe ses premières créations.
Il interrompt ses études pendant deux ans durant lesquels il effectue son service national dans la coopération en Nouvelle Calédonie. Ce premier grand voyage au bout du monde attise son esprit naturellement curieux et avide de découvertes. Il lui donne aussi l’envie d’explorer de nouveaux territoires.
Son attirance pour l’Asie le mène alors à Hong-Kong, Mecque de l’horlogerie, où il pose ses bagages. Il y effectue six mois de stage dans une agence de design qui lui offre une vision très claire de son futur métier et plonge dans la culture horlogère du pays. Au-delà, il trouve dans certains magazines avant-gardistes comme MONO une véritable source d’inspiration.
Riche de ses expériences, il rentre en Europe pour reprendre ses études, en marge desquelles il collabore avec la société Sinn. Cette marque horlogère allemande spécialisée dans les montres de navigation et l'instrumentation de bord lui offre ainsi sa première véritable immersion dans un univers qui le fascine : l’aéronautique. L’affinité est immédiate entre le jeune étudiant designer et le fabricant expérimenté de montres d'aviation, M. Helmut Sinn animés par la même passion pour l'horlogerie utilitaire.
Le mémoire de fin d’études de Bruno Belamich: « le lancement d’une marque horlogère spécialisée dans la fabrication de montres utilitaires à usage professionnel » est un projet professionnel qui porte déjà en lui toutes les fondations de la marque Bell & Ross.
En 1992 leur passion commune pour l’horlogerie réunit Bruno Belamich et son ami d’enfance, Carlos Rosillo. Elle les conduit à s’associer autour d’un projet ambitieux : la fondation d’une marque horlogère. En marge du chemin que Bruno Belamich prend dans le design, Carlos Rosillo poursuit de son côté des études dans la finance et sort diplômé d’H.E.C.
Associant leurs compétences, parfaitement complémentaires, ils fondent Bell & Ross avec la volonté de créer des montres utilitaires à usage professionnel, inspirées de l’instrumentation aéronautique. Leur cahier des charges d’exigence militaire les pousse à s’entourer de maîtres horlogers, ingénieurs, designers et professionnels aux talents complémentaires.
Ils songent immédiatement à un logo qui pose les fondamentaux de la marque. Bruno Belamich le voit extrêmement simple : épuré, visuel, efficace, capable de faire rêver et d’évoquer un univers professionnel. La contraction de leurs deux noms, Belamich et Rosillo, fait vite évidence. Bruno Belamich souhaite avant tout une typographie fonctionnelle, lisible, en référence au marquage professionnel utilitaire et intemporel.
En 1992 leur passion commune pour l’horlogerie réunit Bruno Belamich et son ami d’enfance, Carlos Rosillo. Elle les conduit à s’associer autour d’un projet ambitieux : la fondation d’une marque horlogère. En marge du chemin que Bruno Belamich prend dans le design, Carlos Rosillo poursuit de son côté des études dans la finance et sort diplômé d’H.E.C.
Associant leurs compétences, parfaitement complémentaires, ils fondent Bell & Ross avec la volonté de créer des montres utilitaires à usage professionnel, inspirées de l’instrumentation aéronautique. Leur cahier des charges d’exigence militaire les pousse à s’entourer de maîtres horlogers, ingénieurs, designers et professionnels aux talents complémentaires.
Ils songent immédiatement à un logo qui pose les fondamentaux de la marque. Bruno Belamich le voit extrêmement simple : épuré, visuel, efficace, capable de faire rêver et d’évoquer un univers professionnel. La contraction de leurs deux noms, Belamich et Rosillo, fait vite évidence. Bruno Belamich souhaite avant tout une typographie fonctionnelle, lisible, en référence au marquage professionnel utilitaire et intemporel.
Le choix des caractères de typographie Din* et Franklin, couramment employés dans les univers de l’aviation et de la sécurité s’impose alors. En touche finale, l’esperluette vient compléter un logo qui s'inscrit dans les contours d'une montre à plat. Le cercle entourant cette esperluette représente le boîtier avec au centre, les aiguilles.
Le « Bell » et le « Ross » forment les deux parties du bracelet. Le « & » cerclé est dès lors devenu le symbole identifiant de la marque. Ce sigle souvent employé dans le domaine de la signalétique fonctionnelle a été choisi comme symbole d’union des compétences.
Le logo Bell & Ross est la première concrétisation de la formation fonctionnaliste du designer. Jamais modifié depuis ses origines, ce logo démontre, si besoin était, la corrélation qui existe entre l’esprit d’hier et la marque d’aujourd’hui. Deux années de recherches et de développement sont nécessaires avant que les premières montres Bell & Ross voient le jour en 1994.
Les premières pièces sont produites avec la société Sinn et commercialisées sous le label Bell & Ross by Sinn. L’aventure Bell & Ross est lancée, cette première collection est immédiatement plébiscitée par les professionnels de l’horlogerie. Pour preuve, les détaillants les plus pointus et la presse spécialisée ne s’y tromperont pas…
*Din (« Deutsches Institut für Normung » soit l’Institut Allemand de Normalisation)
Le « Bell » et le « Ross » forment les deux parties du bracelet. Le « & » cerclé est dès lors devenu le symbole identifiant de la marque. Ce sigle souvent employé dans le domaine de la signalétique fonctionnelle a été choisi comme symbole d’union des compétences.
Le logo Bell & Ross est la première concrétisation de la formation fonctionnaliste du designer. Jamais modifié depuis ses origines, ce logo démontre, si besoin était, la corrélation qui existe entre l’esprit d’hier et la marque d’aujourd’hui. Deux années de recherches et de développement sont nécessaires avant que les premières montres Bell & Ross voient le jour en 1994.
Les premières pièces sont produites avec la société Sinn et commercialisées sous le label Bell & Ross by Sinn. L’aventure Bell & Ross est lancée, cette première collection est immédiatement plébiscitée par les professionnels de l’horlogerie. Pour preuve, les détaillants les plus pointus et la presse spécialisée ne s’y tromperont pas…
*Din (« Deutsches Institut für Normung » soit l’Institut Allemand de Normalisation)