« Je suis très honorée que la famille de ce grand collectionneur nous ait choisi pour transmettre cette collection : de tels ensembles sont rares et passionnants car ils nous permettent d’apprendre encore après de nombreuses années de métier » souligne Philippine Dupré La Tour, directeur du pôle Art de vivre & Collections.
Et d’ajouter : « cette collection à la merveilleuse provenance constitue une superbe découverte ; en la regardant, on ressent le niveau d’exigence et de connaissance de ce collectionneur et l’on constate aussi une parfaite maîtrise du sujet. Chaque pièce a été choisie patiemment, et l’on ne peut qu’admirer ce remarquable travail, par un amateur dont ce n’était pourtant pas le métier. »
« C’est dans la petite histoire des montres et horloges portables sur un demi-millénaire que s’est construite la grande histoire du temps et cette collection représente la quintessence de l’art du temps sur 500 ans. Cette collection très éclectique et assemblée avec un œil avisé, celui d’un collectionneur passionné par l’histoire du temps, ce qui définit en tout point le métier d’expert en horlogerie » précise de son côté Geoffroy Ader, expert en horlogerie.
Et d’ajouter : « cette collection à la merveilleuse provenance constitue une superbe découverte ; en la regardant, on ressent le niveau d’exigence et de connaissance de ce collectionneur et l’on constate aussi une parfaite maîtrise du sujet. Chaque pièce a été choisie patiemment, et l’on ne peut qu’admirer ce remarquable travail, par un amateur dont ce n’était pourtant pas le métier. »
« C’est dans la petite histoire des montres et horloges portables sur un demi-millénaire que s’est construite la grande histoire du temps et cette collection représente la quintessence de l’art du temps sur 500 ans. Cette collection très éclectique et assemblée avec un œil avisé, celui d’un collectionneur passionné par l’histoire du temps, ce qui définit en tout point le métier d’expert en horlogerie » précise de son côté Geoffroy Ader, expert en horlogerie.
En tout, 80 montres et horloges portables composent cette collection unique qui présente 500 ans d'histoire de la montre, des premières montres portables de la région de Nuremberg jusqu'aux montres à gousset de la manufacture genevoise Patek Philippe, modèle Gondolo fabriqué pour le revendeur à Rio de Janeiro au début du XXe siècle, en passant par les montres révolutionnaires.
Le catalogue de la vacation « Une histoire du temps » les présente par ordre chronologique et, Geoffroy Ader précise que chacune de ces pièces constitue un exemple pour raconter la grande histoire de l’horlogerie. Ces objets sont restés dans la même famille depuis plus de 60 ans et le propriétaire n'a eu de cesse d'améliorer sa collection au fil du temps…
L’estimation globale de cette vente aux enchères s’élève à 500.000/700.000 euros. La fourchette des estimations oscille entre quelques centaines d’euros et 70.000/100.000 euros pour le clou de la vente, la boîte montre des Frères Rochat.
Le catalogue de la vacation « Une histoire du temps » les présente par ordre chronologique et, Geoffroy Ader précise que chacune de ces pièces constitue un exemple pour raconter la grande histoire de l’horlogerie. Ces objets sont restés dans la même famille depuis plus de 60 ans et le propriétaire n'a eu de cesse d'améliorer sa collection au fil du temps…
L’estimation globale de cette vente aux enchères s’élève à 500.000/700.000 euros. La fourchette des estimations oscille entre quelques centaines d’euros et 70.000/100.000 euros pour le clou de la vente, la boîte montre des Frères Rochat.
Cette collection s’inscrit dans la continuité d’une autre, également passée en vente chez Aguttes : « La mesure des mondes », qui dévoilait notamment de très belles montres automates.
Constitué dès l’après-guerre par un amateur très actif sur le marché de l’art parisien, cet ensemble a été complété jusqu’à la fin des années 1970. Ce collectionneur, qui composa patiemment et passionnément cet ensemble, passait beaucoup de temps à suivre les ventes aux enchères publiques.
Sa bibliothèque comprenait de nombreux ouvrages de référence parmi lesquels les catalogues des Collection Jubinal de Saint Albin (Etienne Ader, commissaire-priseur, 17 février 1960 à Drouot) et Collection Bloch-Pimentel (Etienne Ader, commissaire-priseur, 5 mai 1961 à Drouot).
Cet amoureux des montres devint ainsi proche de nombreux marchands et professionnels de l’horlogerie à Paris ; il aimait fréquenter de manière assidue l’atelier de son horloger de confiance, Maurice Fronteau, bien connu des amateurs de montres anciennes.
Les éclectiques goûts artistiques de ce passionné portaient sur différentes périodes de l’histoire de l’horlogerie, depuis ses origines, qui remontent au début du XVIe siècle, jusqu’au début de XXe siècle.
Parmi ses innombrables passions, figurait celle des mécanismes à automates et à musique, comme en témoigne cette remarquable boîte montre des Frères Rochat. Celle-ci provient des Collections du Roi Farouk dispersées à l’occasion de la célèbre vente organisée, en 1954, au Koubbeh Palace au Caire.
Il s’agit de l’une des cinq ventes aux enchères les plus emblématiques au siècle dernier. Cette pièce phare de la collection a également illustré le livre sur les automates par Chappuis et Droz (p. 203), et figurait à l’exposition royale de Londres sur les merveilles des automates en 1800, alors qu’elle était, à l’époque, conservée dans la prestigieuse collection Berry-Hill.
Constitué dès l’après-guerre par un amateur très actif sur le marché de l’art parisien, cet ensemble a été complété jusqu’à la fin des années 1970. Ce collectionneur, qui composa patiemment et passionnément cet ensemble, passait beaucoup de temps à suivre les ventes aux enchères publiques.
Sa bibliothèque comprenait de nombreux ouvrages de référence parmi lesquels les catalogues des Collection Jubinal de Saint Albin (Etienne Ader, commissaire-priseur, 17 février 1960 à Drouot) et Collection Bloch-Pimentel (Etienne Ader, commissaire-priseur, 5 mai 1961 à Drouot).
Cet amoureux des montres devint ainsi proche de nombreux marchands et professionnels de l’horlogerie à Paris ; il aimait fréquenter de manière assidue l’atelier de son horloger de confiance, Maurice Fronteau, bien connu des amateurs de montres anciennes.
Les éclectiques goûts artistiques de ce passionné portaient sur différentes périodes de l’histoire de l’horlogerie, depuis ses origines, qui remontent au début du XVIe siècle, jusqu’au début de XXe siècle.
Parmi ses innombrables passions, figurait celle des mécanismes à automates et à musique, comme en témoigne cette remarquable boîte montre des Frères Rochat. Celle-ci provient des Collections du Roi Farouk dispersées à l’occasion de la célèbre vente organisée, en 1954, au Koubbeh Palace au Caire.
Il s’agit de l’une des cinq ventes aux enchères les plus emblématiques au siècle dernier. Cette pièce phare de la collection a également illustré le livre sur les automates par Chappuis et Droz (p. 203), et figurait à l’exposition royale de Londres sur les merveilles des automates en 1800, alors qu’elle était, à l’époque, conservée dans la prestigieuse collection Berry-Hill.