On le sait, la marque horlogère Réservoir aime faire les choses différemment des autres. Et ce bracelet en plumes de coq en est une bonne illustration.
Au-delà de son affichage de l’heure unique et original (heure sautante et minutes rétrogrades), la marque voulait aller plus loin en proposant un bracelet dans une matière qui soit aussi étonnante que rare. En effet, comment imaginer que des plumes de coq se transforment en un solide bracelet de montre ?
Ce dernier a pu voir le jour grâce à la rencontre de François Moreau, le patron de Réservoir et de Maxime Leroy, un artisan plumassier qui travaille pour les grands noms de la haute couture (Chanel, Givenchy, Louis Vuitton ou Jean-Paul Gaultier).
Au-delà de son affichage de l’heure unique et original (heure sautante et minutes rétrogrades), la marque voulait aller plus loin en proposant un bracelet dans une matière qui soit aussi étonnante que rare. En effet, comment imaginer que des plumes de coq se transforment en un solide bracelet de montre ?
Ce dernier a pu voir le jour grâce à la rencontre de François Moreau, le patron de Réservoir et de Maxime Leroy, un artisan plumassier qui travaille pour les grands noms de la haute couture (Chanel, Givenchy, Louis Vuitton ou Jean-Paul Gaultier).
La plume, que l’on imagine frêle et légère, se transforme sous les doigts experts de l’artisan, en un résistant bracelet-montre !
Tout d’abord, le plumassier doit sélectionner les plumes selon leurs qualités : à savoir leur largeur, leurs couleurs et leurs nuances. La palette chromatique se déploie du « nude » aux déclinaisons tangerine, vert, outremer ou noir mat.
Ensuite, les plumes -qui proviennent pour la plupart du collet et qui sont des plumes de mues- sont encollées et séchées puis l’artisan les calibre et initie une ligature ou tressage selon un savoir-faire précis, puis découpe l’élément tressé selon le gabarit du bracelet (longueur et largeur).
Tout d’abord, le plumassier doit sélectionner les plumes selon leurs qualités : à savoir leur largeur, leurs couleurs et leurs nuances. La palette chromatique se déploie du « nude » aux déclinaisons tangerine, vert, outremer ou noir mat.
Ensuite, les plumes -qui proviennent pour la plupart du collet et qui sont des plumes de mues- sont encollées et séchées puis l’artisan les calibre et initie une ligature ou tressage selon un savoir-faire précis, puis découpe l’élément tressé selon le gabarit du bracelet (longueur et largeur).
L’élément tressé est alors assemblé sur du cuir de veau puis subit une finition de bichonnage. Enfin, une cire est appliquée sur les tranches du bracelet pour compléter le tout. Il faut compter une dizaine d’heures de travail par strap (en 20 mm de largeur, avec pompes « flash »).
Un très beau produit (en vente en ligne sur le site Réservoir) et une bien belle collaboration qui met en avant un savoir-faire français !
Un très beau produit (en vente en ligne sur le site Réservoir) et une bien belle collaboration qui met en avant un savoir-faire français !
