Ce modèle Shadow 2 Démineurs reprend globalement le même design que la collection Spirotechnique. Un boitier de forme de 42 mm en acier, étanche à 300 mètres et doté d’une couronne vissée à 4h. Dans l’axe de la date.
Son cadran noir mat est associé à des touches de rouges (couleur plutôt rare sur une plongeuse où l’on retrouve généralement du jaune ou du orange) sur la large aiguille des minutes en flèche et sur le pourtour du cadran délimitant des segments de dix minutes pour plus de clarté.
A noter que la trotteuse de type Lollipop, élément indispensable sur une plongeuse puisqu’en plus des secondes elle sert d’indicateur de marche, est également en rouge à son extrémité.
L’ensemble est ponctué de larges index blancs recouverts de matière luminescente blanche, tout comme sur les aiguilles des heures et des minutes. A 6h, apparaissent la mention « déminage » et la tête de mort.
Son cadran noir mat est associé à des touches de rouges (couleur plutôt rare sur une plongeuse où l’on retrouve généralement du jaune ou du orange) sur la large aiguille des minutes en flèche et sur le pourtour du cadran délimitant des segments de dix minutes pour plus de clarté.
A noter que la trotteuse de type Lollipop, élément indispensable sur une plongeuse puisqu’en plus des secondes elle sert d’indicateur de marche, est également en rouge à son extrémité.
L’ensemble est ponctué de larges index blancs recouverts de matière luminescente blanche, tout comme sur les aiguilles des heures et des minutes. A 6h, apparaissent la mention « déminage » et la tête de mort.
Cette montre embarque un calibre mécanique automatique (un ETA 2824). Sur le fond du boitier, on retrouve la devise des démineurs, non dénuée d’humour noir : « La première erreur est souvent la dernière ».
Pour rappel, il resterait encore rien que dans la Manche, environ 700.000 munitions non explosées de la Seconde guerre mondiale… Pour les trouver, les équipes de démineurs quadrillent les fonds marins grâce à des sonars.
Une fois une forme suspecte repérée, des plongeurs-démineurs prennent le relais pour évaluer l'objet car même après tant d'années sous l’eau, la matière explosive reste encore très dangereuse ! D'où la nécessité de ces opérations.
On estime qu’il faudra plus d’un siècle pour nettoyer entièrement les fonds marins des munitions de guerre. Bref, nos démineurs ont du pain sur la planche… A découvrir chez Emile Leon à Paris.
Pour rappel, il resterait encore rien que dans la Manche, environ 700.000 munitions non explosées de la Seconde guerre mondiale… Pour les trouver, les équipes de démineurs quadrillent les fonds marins grâce à des sonars.
Une fois une forme suspecte repérée, des plongeurs-démineurs prennent le relais pour évaluer l'objet car même après tant d'années sous l’eau, la matière explosive reste encore très dangereuse ! D'où la nécessité de ces opérations.
On estime qu’il faudra plus d’un siècle pour nettoyer entièrement les fonds marins des munitions de guerre. Bref, nos démineurs ont du pain sur la planche… A découvrir chez Emile Leon à Paris.