A l’horizon 2011, un nouveau chapitre s’ouvre pour la marque qui s’inscrit en partenaire privilégié des moments précieux de la vie.
Dans une époque aux repères bouleversés, ses montres sont comme autant d’estampilles qui marquent du sceau de la mémoire les moments précieux de l’existence : mariages, naissances, anniversaires, fin d’études, réunions de famille.
Objets de référence, elles restent associées à l’instant que l’on a souhaité célébrer et donnent au quotidien un véritable supplément d’âme. Le souvenir demeure, immortalisé à jamais par le garde-temps.
L’univers de Baume & Mercier est aujourd’hui tout entier contenu dans le « seaside living », une philosophie de vie en parfaite correspondance avec les valeurs authentiques de convivialité, de partage, et de pérennité que véhicule la marque du groupe Richemont.
Dans une époque aux repères bouleversés, ses montres sont comme autant d’estampilles qui marquent du sceau de la mémoire les moments précieux de l’existence : mariages, naissances, anniversaires, fin d’études, réunions de famille.
Objets de référence, elles restent associées à l’instant que l’on a souhaité célébrer et donnent au quotidien un véritable supplément d’âme. Le souvenir demeure, immortalisé à jamais par le garde-temps.
L’univers de Baume & Mercier est aujourd’hui tout entier contenu dans le « seaside living », une philosophie de vie en parfaite correspondance avec les valeurs authentiques de convivialité, de partage, et de pérennité que véhicule la marque du groupe Richemont.
Cette vision « lifestyle » recentrée sur les clients de la marque, s’exprime à travers la famille, les amis, qui forment ensemble la tribu des proches, le premier cercle avec lequel chaque instant prend tout son sens. Les Hamptons sur Long Island en sont le reflet idéal. Entre terre et océan, art de vivre et luxe de l’être, ce lieu magique invite à la sagesse qu’exprime le nouveau claim de Baume & Mercier : « Life is about moments ».
Un homme, un ponton, l’horizon… Il est des montres dont l’univers s’exprime au premier coup d’œil : Capeland est de celles-là.
C’est une pièce historique qui a inspiré le travail d’interprétation contemporaine de cette collection, un chronographe monopoussoir de 1948. Avec sa glace « chevé » et son fond très bombé, cette montre s’inscrivait directement dans la ligne des montres de poche « galet » du début du siècle. Son ergonomie accentuée par la géométrie esthétiquement symétrique du dessus et du dessous, a été la principale source d'inspiration pour le design de la montre Capeland.
Un homme, un ponton, l’horizon… Il est des montres dont l’univers s’exprime au premier coup d’œil : Capeland est de celles-là.
C’est une pièce historique qui a inspiré le travail d’interprétation contemporaine de cette collection, un chronographe monopoussoir de 1948. Avec sa glace « chevé » et son fond très bombé, cette montre s’inscrivait directement dans la ligne des montres de poche « galet » du début du siècle. Son ergonomie accentuée par la géométrie esthétiquement symétrique du dessus et du dessous, a été la principale source d'inspiration pour le design de la montre Capeland.
La force évocatrice de Capeland ne tient pas que dans son nom. Tout en elle suggère le « seaside living » : le galbe prononcé de son fond et de sa glace évoque irrésistiblement les contours d’un galet. La forme des cornes, courtes et élégantes, accentue encore la rondeur du boîtier.
Capeland se distingue aussi par la bitonalité du cadran qui renvoie à l’esthétique des années 50. Très travaillé, il comprend des échelles tachymètre et télémètre, tandis que la boîte est embellie par des finitions poli-satinées. A noter, Capeland assure une étanchéité à 50 mètres.
Le cœur de collection, chronographe (42 et 44 mm / étanches 50 mètres) pour toutes les références, s’inscrit dans une veine « d’élégance décontractée avec une légère signature sportive marquée par une police de chiffres sobre et une note rouge sur la pointe de l’aiguille des secondes et l’échelle télémètre » souligne la marque dans son communiqué. Dans cet esprit, le bracelet veau aux coutures claires s’impose et se conjugue avec la palette très tendance des couleurs de cadran : ardoise, anthracite, cuivre, brun, argent, noir et blanc.
Point d’orgue de la collection Capeland, les pièces emblématiques sont équipées d’un mouvement mécanique à remontage automatique avec fonction chronographe Flyback. Ce mouvement Bi-compax de la manufacture Lajoux-Perret est enrichi de vis en acier bleui et de finition perlée pour la platine et les ponts. Son fond saphir transparent permet d’admirer la masse oscillante personnalisée du Phi, l’emblème de la marque, et agrémentée de décors « Côtes de Genève » et colimaçonné.
Ces montres se distinguent également par une glace « chevée », un cadran bombé aux couleurs rétro et des aiguilles type « Breguet ». Proposés en deux versions, boîte acier ou or rouge 18 ct qui chatoie comme un cuivre ancien, ces modèles sont montés sur un bracelet en alligator brun foncé ou noir qui apporte une note finale de sophistication.
Capeland se distingue aussi par la bitonalité du cadran qui renvoie à l’esthétique des années 50. Très travaillé, il comprend des échelles tachymètre et télémètre, tandis que la boîte est embellie par des finitions poli-satinées. A noter, Capeland assure une étanchéité à 50 mètres.
Le cœur de collection, chronographe (42 et 44 mm / étanches 50 mètres) pour toutes les références, s’inscrit dans une veine « d’élégance décontractée avec une légère signature sportive marquée par une police de chiffres sobre et une note rouge sur la pointe de l’aiguille des secondes et l’échelle télémètre » souligne la marque dans son communiqué. Dans cet esprit, le bracelet veau aux coutures claires s’impose et se conjugue avec la palette très tendance des couleurs de cadran : ardoise, anthracite, cuivre, brun, argent, noir et blanc.
Point d’orgue de la collection Capeland, les pièces emblématiques sont équipées d’un mouvement mécanique à remontage automatique avec fonction chronographe Flyback. Ce mouvement Bi-compax de la manufacture Lajoux-Perret est enrichi de vis en acier bleui et de finition perlée pour la platine et les ponts. Son fond saphir transparent permet d’admirer la masse oscillante personnalisée du Phi, l’emblème de la marque, et agrémentée de décors « Côtes de Genève » et colimaçonné.
Ces montres se distinguent également par une glace « chevée », un cadran bombé aux couleurs rétro et des aiguilles type « Breguet ». Proposés en deux versions, boîte acier ou or rouge 18 ct qui chatoie comme un cuivre ancien, ces modèles sont montés sur un bracelet en alligator brun foncé ou noir qui apporte une note finale de sophistication.
