Quand on pense Breitling, on pense automatiquement Navitimer. Forcément, c’est « la » montre la plus mythique, non seulement de chez Breitling, mais c’est également l’une des icônes absolues du marché de l’horlogerie. Et à raison d’ailleurs. Pourtant, il faut savoir que le modèle SuperOcean, la « plongeuse » de Breitling, fait également partie des best-sellers de la marque.
C’est donc ce modèle qui vient d’être mis à l’honneur à Bali dans le cadre du lancement d’une série limitée de milles exemplaires réalisé en partenariat avec l’association Ocean Conservancy qui, comme son nom l’indique, vise à protéger les mers du globe. Une thématique très porteuse et récurrente ces derniers temps chez les horlogers de luxe, d’Oris à Breguet en passant par Blancpain et quelques autres.
Vue d’Europe, Bali prend des allures de carte postale. Mais une fois sur place, la plage blanche idyllique est souvent jonchée de débris et de plastiques en tous genres. Cette pollution est autant locale (habitants et touristes) qu’extérieure à l’ile indonésienne…
En effet, Bali se trouve à l’intersection des courants de l’Océan Pacifique qui se jettent dans l’Océan Indien ; cette situation géographique entraine donc, en plus de la pollution locale qui est réelle, une pollution en provenance de l’Indonésie, mais aussi des Philippines ou de la Malaisie…
Dans ce contexte, fin 2018, Wayan Koster, gouverneur de Bali, a annoncé qu'il souhaitait (tout comme l'a fait l'Union Européenne il y a quelques temps) agir et donc réduire de 70% en 2019 la pollution de plastique sur les côtes balinaises. Une mesure qui place l'île indonésienne aux avant-postes des pays luttant pour la protection de la planète. Des sanctions (comprendre des amendes) seront prises pour les contrevenants dès le mois de juin prochain…
Dans ce contexte peu reluisant, Breitling a dévoilé le 10 mai 2019, un modèle en édition limitée pour célébrer son partenariat avec Ocean Conservancy. Le lancement s’est déroulé en parallèle d’une initiative de ramassage de déchets, ouverte à 100 invités Breitling et des centaines de volontaires de l’île et de la région. Ce travail de nettoyage a permis de libérer la plage de centaines de déchets et de morceaux de plastique.
Cette Superocean Héritage Ocean Conservancy Limited Edition se caractérise par un fond de boîtier gravé du logo d’Ocean Conservancy et de la mention d’édition limitée « 1 OF 1000 » (ce qui évite à la marque de les numéroter individuellement).
Animé par le Calibre Breitling 13 automatique (COSC ; réserve de marche de 48h), ce chronographe-jour-date est surmonté d’une lunette tournante unidirectionnelle résistante aux rayures et aux chocs, agrémentée d’un point luminescent à 12 heures.
Ce point, tout comme les aiguilles des heures et des minutes, est orné de Superluminova qui diffuse une lumière bleue au lieu du vert standard. Cette variation de couleur s’accorde au design de la montre, dont le cadran couleur argentée est rehaussé d’une inscription « Superocean » en bleu. D’autres touches de bleu soulignent l’ensemble, comme l’aiguille centrale des secondes et les sous-cadrans ton sur ton aux détails bleus ou plaqué nickel.
Ce chrono tricompax en « C » embarque un boitier en acier de 44 mm étanche à 200 mètres (poussoirs non vissés). Il s’accompagne de deux bracelets NATO confectionnés en fil ECONYL, une matière obtenue à partir de résidus de nylon, dont l’une des sources correspond aux filets de pêche qui flottent dans les océans (pas très luxueux mais très tendance).
La montre est présentée sur un bracelet en satin NATO à rayures bleues, complété par un bracelet en satin NATO bleu uni. Le coffret de présentation est également réalisé à partir d’une matière 100% recyclée, là encore, ce n’est pas très luxueux mais c’est dans l’air du temps… Une partie des bénéfices générés par les ventes de ce modèle sera reversée à Ocean Conservancy pour soutenir sa lutte contre la pollution des océans du monde entier.
Depuis plus de 40 ans, Ocean Conservancy se consacre à sa seule mission : la propreté des plages et la sauvegarde des écosystèmes marins. Cette organisation non gouvernementale menant une lutte à l’échelle mondiale est unique par son histoire, son travail accompli, et son engagement à traiter les problèmes difficiles, quelle que soit leur gravité ou leur caractère controversé.
Les solutions à ces problèmes exigent un engagement multisectoriel et s’appuient sur de solides bases scientifiques et une politique responsable. Ocean Conservancy travaille dans plusieurs secteurs réunissant des entreprises, des défenseurs de l’environnement et des gouvernements afin de relever des défis systémiques et de trouver des solutions durables.
C’est donc ce modèle qui vient d’être mis à l’honneur à Bali dans le cadre du lancement d’une série limitée de milles exemplaires réalisé en partenariat avec l’association Ocean Conservancy qui, comme son nom l’indique, vise à protéger les mers du globe. Une thématique très porteuse et récurrente ces derniers temps chez les horlogers de luxe, d’Oris à Breguet en passant par Blancpain et quelques autres.
Vue d’Europe, Bali prend des allures de carte postale. Mais une fois sur place, la plage blanche idyllique est souvent jonchée de débris et de plastiques en tous genres. Cette pollution est autant locale (habitants et touristes) qu’extérieure à l’ile indonésienne…
En effet, Bali se trouve à l’intersection des courants de l’Océan Pacifique qui se jettent dans l’Océan Indien ; cette situation géographique entraine donc, en plus de la pollution locale qui est réelle, une pollution en provenance de l’Indonésie, mais aussi des Philippines ou de la Malaisie…
Dans ce contexte, fin 2018, Wayan Koster, gouverneur de Bali, a annoncé qu'il souhaitait (tout comme l'a fait l'Union Européenne il y a quelques temps) agir et donc réduire de 70% en 2019 la pollution de plastique sur les côtes balinaises. Une mesure qui place l'île indonésienne aux avant-postes des pays luttant pour la protection de la planète. Des sanctions (comprendre des amendes) seront prises pour les contrevenants dès le mois de juin prochain…
Dans ce contexte peu reluisant, Breitling a dévoilé le 10 mai 2019, un modèle en édition limitée pour célébrer son partenariat avec Ocean Conservancy. Le lancement s’est déroulé en parallèle d’une initiative de ramassage de déchets, ouverte à 100 invités Breitling et des centaines de volontaires de l’île et de la région. Ce travail de nettoyage a permis de libérer la plage de centaines de déchets et de morceaux de plastique.
Cette Superocean Héritage Ocean Conservancy Limited Edition se caractérise par un fond de boîtier gravé du logo d’Ocean Conservancy et de la mention d’édition limitée « 1 OF 1000 » (ce qui évite à la marque de les numéroter individuellement).
Animé par le Calibre Breitling 13 automatique (COSC ; réserve de marche de 48h), ce chronographe-jour-date est surmonté d’une lunette tournante unidirectionnelle résistante aux rayures et aux chocs, agrémentée d’un point luminescent à 12 heures.
Ce point, tout comme les aiguilles des heures et des minutes, est orné de Superluminova qui diffuse une lumière bleue au lieu du vert standard. Cette variation de couleur s’accorde au design de la montre, dont le cadran couleur argentée est rehaussé d’une inscription « Superocean » en bleu. D’autres touches de bleu soulignent l’ensemble, comme l’aiguille centrale des secondes et les sous-cadrans ton sur ton aux détails bleus ou plaqué nickel.
Ce chrono tricompax en « C » embarque un boitier en acier de 44 mm étanche à 200 mètres (poussoirs non vissés). Il s’accompagne de deux bracelets NATO confectionnés en fil ECONYL, une matière obtenue à partir de résidus de nylon, dont l’une des sources correspond aux filets de pêche qui flottent dans les océans (pas très luxueux mais très tendance).
La montre est présentée sur un bracelet en satin NATO à rayures bleues, complété par un bracelet en satin NATO bleu uni. Le coffret de présentation est également réalisé à partir d’une matière 100% recyclée, là encore, ce n’est pas très luxueux mais c’est dans l’air du temps… Une partie des bénéfices générés par les ventes de ce modèle sera reversée à Ocean Conservancy pour soutenir sa lutte contre la pollution des océans du monde entier.
Depuis plus de 40 ans, Ocean Conservancy se consacre à sa seule mission : la propreté des plages et la sauvegarde des écosystèmes marins. Cette organisation non gouvernementale menant une lutte à l’échelle mondiale est unique par son histoire, son travail accompli, et son engagement à traiter les problèmes difficiles, quelle que soit leur gravité ou leur caractère controversé.
Les solutions à ces problèmes exigent un engagement multisectoriel et s’appuient sur de solides bases scientifiques et une politique responsable. Ocean Conservancy travaille dans plusieurs secteurs réunissant des entreprises, des défenseurs de l’environnement et des gouvernements afin de relever des défis systémiques et de trouver des solutions durables.