Du fait de sa beauté et de sa rareté, les Grecs dénommaient déjà le rubis la « mère de toutes les pierres précieuses ». Le philosophe grec Aristote écrivait à ce sujet: « L’une d’entre elles est rouge comme le sang et porte le nom de rubis. Elle est la plus merveilleuse de toutes. »
A cet égard, les Romains parlaient de la « fleur parmi toutes les pierres ». Le rubis était en effet considéré comme l’énergie divine de l’amour devenue pierre, qui alliait Eros, l’amour sensuel, et Agape, l’amour spirituel.
En Asie également, le rubis est vénéré depuis des milliers d’années. La « pierre de la vie et de l’amour » est depuis fort longtemps utilisée comme talisman, car elle concentre les forces de toutes les pierres précieuses.
Le rubis est ainsi symbole de pouvoir, de vaillance et de dignité. Il était par conséquent la pierre précieuse préférée des princes, rois et maharajas indiens.
Au Moyen-âge, la couleur rouge jouait également un rôle significatif, en plus des tons noirs et dorés, surtout dans les églises. Dans cet esprit, l’Alacria Diva Gothic de Carl F. Bucherer, présente une caractéristique architecturale typique de cette époque. Les contours noirs dans le cadran, réalisés en laque, rappellent les structures en arc du style gothique des églises.
Aujourd’hui encore, le rubis est considéré comme l’une des plus précieuses des pierres précieuses. Rien d’étonnant donc à ce que l’Alacria Diva Gothic rayonne avec ses 211 rubis, dont un monté sur la couronne.
Cependant, outre les rubis, l’Alacria Diva Gothic est également composée de 169 brillants intégrés dans le boîtier, dans le cadran ainsi que dans la boucle. Résultat : un bijou unique réalisé dans une édition limitée de 25 pièces.
Soulignons par ailleurs que cette montre en or blanc 18 carats adopte une forme resserrée « en sablier ». Le modèle est complété par son bracelet réalisé en peau de raie noire (galuchat) pour le dessus et en cuir d’alligator rouge pour le dessous.
Ce modèle de 134.500 francs suisses (environ 88.000 euros) est rehaussé par la taille exigeante des pierres. Les 54 rubis de la lunette ont en effet été réalisés en taille baguette, métissant des facettes carrées et losanges, et la surface des pierres placée vers le bas, tandis que la partie arrondie, non taillée est disposée vers le haut. Un procédé spécifique et rare, qui confère à cette montre une note supplémentaire d’unicité.
A cet égard, les Romains parlaient de la « fleur parmi toutes les pierres ». Le rubis était en effet considéré comme l’énergie divine de l’amour devenue pierre, qui alliait Eros, l’amour sensuel, et Agape, l’amour spirituel.
En Asie également, le rubis est vénéré depuis des milliers d’années. La « pierre de la vie et de l’amour » est depuis fort longtemps utilisée comme talisman, car elle concentre les forces de toutes les pierres précieuses.
Le rubis est ainsi symbole de pouvoir, de vaillance et de dignité. Il était par conséquent la pierre précieuse préférée des princes, rois et maharajas indiens.
Au Moyen-âge, la couleur rouge jouait également un rôle significatif, en plus des tons noirs et dorés, surtout dans les églises. Dans cet esprit, l’Alacria Diva Gothic de Carl F. Bucherer, présente une caractéristique architecturale typique de cette époque. Les contours noirs dans le cadran, réalisés en laque, rappellent les structures en arc du style gothique des églises.
Aujourd’hui encore, le rubis est considéré comme l’une des plus précieuses des pierres précieuses. Rien d’étonnant donc à ce que l’Alacria Diva Gothic rayonne avec ses 211 rubis, dont un monté sur la couronne.
Cependant, outre les rubis, l’Alacria Diva Gothic est également composée de 169 brillants intégrés dans le boîtier, dans le cadran ainsi que dans la boucle. Résultat : un bijou unique réalisé dans une édition limitée de 25 pièces.
Soulignons par ailleurs que cette montre en or blanc 18 carats adopte une forme resserrée « en sablier ». Le modèle est complété par son bracelet réalisé en peau de raie noire (galuchat) pour le dessus et en cuir d’alligator rouge pour le dessous.
Ce modèle de 134.500 francs suisses (environ 88.000 euros) est rehaussé par la taille exigeante des pierres. Les 54 rubis de la lunette ont en effet été réalisés en taille baguette, métissant des facettes carrées et losanges, et la surface des pierres placée vers le bas, tandis que la partie arrondie, non taillée est disposée vers le haut. Un procédé spécifique et rare, qui confère à cette montre une note supplémentaire d’unicité.
Spécificités techniques de la montre Alacria Diva Gothic de Carl F. Bucherer
Mouvement : quartz
Fonctions : heures, minutes
Boîtier : or blanc 18 K, 54 rubis (taille baguette) 1ère qualité 5,0 ct., 157 rubis 1ère qualité 1,0 ct., 82 brillants TW vvs 1,3 ct., dimensions 31,35 x 45,00 mm
Couronne : or blanc 18 K, 1 rubis 1ère qualité 0,05 ct.
Cadran : 74 brillants TW vvs 0,7 ct.
Verre : saphir
Etanchéité : jusqu’à 30 m,
Bracelet : peau de raie noire pour le dessus, cuir rouge d’alligator pour le dessous
Boucle : or blanc 18 K, 13 brillants TW vvs 0,15 ct.
Edition limitée : 25 pièces
Prix : 134.500 francs suisses
Fonctions : heures, minutes
Boîtier : or blanc 18 K, 54 rubis (taille baguette) 1ère qualité 5,0 ct., 157 rubis 1ère qualité 1,0 ct., 82 brillants TW vvs 1,3 ct., dimensions 31,35 x 45,00 mm
Couronne : or blanc 18 K, 1 rubis 1ère qualité 0,05 ct.
Cadran : 74 brillants TW vvs 0,7 ct.
Verre : saphir
Etanchéité : jusqu’à 30 m,
Bracelet : peau de raie noire pour le dessus, cuir rouge d’alligator pour le dessous
Boucle : or blanc 18 K, 13 brillants TW vvs 0,15 ct.
Edition limitée : 25 pièces
Prix : 134.500 francs suisses
