Avec leurs boîtiers extra-plats -7,47 millimètres- façonnés en or rose éthique ou en platine intégralement serti sur les flancs, les cornes, les entrecornes, la couronne et la lunette, ces nouveaux modèles L.U.C Flying T Twin Ladies affichent un diamètre de 35 mm.
Des proportions adaptées aux poignets des femmes, et qui font de surcroit, de ces deux créations, les montres à tourbillon volant parmi les plus petites du marché.
Le tourbillon volant est mis au premier plan à travers une ouverture de grand diamètre à 6h qui offre une vue à travers le mouvement. Pour un effet de transparence et de profondeur. Au-dessus de la cage de tourbillon est placée la petite seconde.
Des proportions adaptées aux poignets des femmes, et qui font de surcroit, de ces deux créations, les montres à tourbillon volant parmi les plus petites du marché.
Le tourbillon volant est mis au premier plan à travers une ouverture de grand diamètre à 6h qui offre une vue à travers le mouvement. Pour un effet de transparence et de profondeur. Au-dessus de la cage de tourbillon est placée la petite seconde.
Dans sa version or, l’ouverture du tourbillon est pratiquée dans un cadran en nacre perlée, habillé d’index sertis de diamants taille brillant – sauf à midi, indiqué par des chiffres arabes dorés. Le cadran de la version en platine est, pour sa part, pavé de 282 diamants dont le sertissage est centré sur la cage de tourbillon.
Le boîtier embarque le calibre L.U.C 96.24-L, premier mouvement automatique à tourbillon volant -caractérisé par l'absence de pont supérieur- de Chopard Manufacture. Ce calibre présente une épaisseur de seulement 3,3 mm, identique à celle du L.U.C 96.01-L, calibre premier de Chopard Manufacture créé il y a 25 ans, dont il est une évolution.
A noter que cela ne modifie aucune de ses caractéristiques fondamentales de ce « moteur » ! Son diamètre, sa réserve de marche de 65h –alimentée par deux barillets superposés, selon la technologie Chopard Twin– et son remontage automatique par micro-rotor en or 22 carats demeurent. Sur la version en platine, les artisans poussent le raffinement jusqu’à sertir entièrement ce micro-rotor de diamants.
Le boîtier embarque le calibre L.U.C 96.24-L, premier mouvement automatique à tourbillon volant -caractérisé par l'absence de pont supérieur- de Chopard Manufacture. Ce calibre présente une épaisseur de seulement 3,3 mm, identique à celle du L.U.C 96.01-L, calibre premier de Chopard Manufacture créé il y a 25 ans, dont il est une évolution.
A noter que cela ne modifie aucune de ses caractéristiques fondamentales de ce « moteur » ! Son diamètre, sa réserve de marche de 65h –alimentée par deux barillets superposés, selon la technologie Chopard Twin– et son remontage automatique par micro-rotor en or 22 carats demeurent. Sur la version en platine, les artisans poussent le raffinement jusqu’à sertir entièrement ce micro-rotor de diamants.
Le L.U.C 96.24-L est certifié chronomètre et dispose d’une fonction stop seconde, rare sur un tourbillon, qui permet une mise à l’heure précise. Par ailleurs, ces deux modèles sont également certifiés par le prestigieux Poinçon de Genève.
De la conception du mouvement jusqu’aux réglages et au contrôle qualité, en passant par le design du produit fini, la fonte de l’or, l’étampage et l’usinage des boîtes et composants de mouvements, la gravure et la décoration traditionnelle à la main, le sertissage, le traitement des surfaces, le polissage et l’assemblage, Chopard maîtrise dans ses ateliers suisses de Genève et Fleurier l’intégralité du processus de production de chaque création de la collection L.U.C.
Ces montres « deux aiguilles » de type Dauphine (toujours très horlogères) se portent sur des bracelets en alligator rembordé avec boucle ardillon de la même matière que les boitiers (étanches à 30 mètres).
De la conception du mouvement jusqu’aux réglages et au contrôle qualité, en passant par le design du produit fini, la fonte de l’or, l’étampage et l’usinage des boîtes et composants de mouvements, la gravure et la décoration traditionnelle à la main, le sertissage, le traitement des surfaces, le polissage et l’assemblage, Chopard maîtrise dans ses ateliers suisses de Genève et Fleurier l’intégralité du processus de production de chaque création de la collection L.U.C.
Ces montres « deux aiguilles » de type Dauphine (toujours très horlogères) se portent sur des bracelets en alligator rembordé avec boucle ardillon de la même matière que les boitiers (étanches à 30 mètres).