Certains experts pensent que l’horlogerie de luxe risque d’être fortement touchée par l’arrivée des Smartwatches… Un discours qui n’est pas sans rappeler celui que l’on pouvait entendre lorsque le quartz a fait son apparition sur le marché dans les années 70/80…
Alors, allons-nous revivre le même genre de discours dans les mois qui viennent avec le développement exponentiel des montres connectées…. Ernst Thomke ne le pense pas vraiment. Pour lui, le marché des montres de luxe a encore un bel avenir devant lui-même si, indique-t-il, leur « précision est inversement proportionnelle au prix facturé » !
En revanche, l’industriel regrette que la Suisse ne se focalise que sur les montres haut de gamme, délaissant le segment très porteur des Smartwatches … Ernst Thomke, estime que ces modèles ne seront produits que par Samsung ou Apple, aux Etats-Unis, au Japon ou en Corée du Sud…
« La Suisse a complètement raté ce virage » a-t-il ajouté. Elle s’est spécialisée dans le « segment du luxe, avec des prix surfaits, très loin de toute réalité industrielle ». En revanche, conclut-il, « l'industrie horlogère suisse a encore de beaux jours devant elle en raison du statut attaché à la possession d'une belle montre. Tant que certaines personnes auront besoin d'une Mercedes, d'une Porsche et d'une montre de luxe au poignet pour se sentir supérieures, alors les perspectives demeurent roses ».
Pour aller plus loin, lire aussi : une smartwatch TAG Heuer à la Coupe de l'America
Alors, allons-nous revivre le même genre de discours dans les mois qui viennent avec le développement exponentiel des montres connectées…. Ernst Thomke ne le pense pas vraiment. Pour lui, le marché des montres de luxe a encore un bel avenir devant lui-même si, indique-t-il, leur « précision est inversement proportionnelle au prix facturé » !
En revanche, l’industriel regrette que la Suisse ne se focalise que sur les montres haut de gamme, délaissant le segment très porteur des Smartwatches … Ernst Thomke, estime que ces modèles ne seront produits que par Samsung ou Apple, aux Etats-Unis, au Japon ou en Corée du Sud…
« La Suisse a complètement raté ce virage » a-t-il ajouté. Elle s’est spécialisée dans le « segment du luxe, avec des prix surfaits, très loin de toute réalité industrielle ». En revanche, conclut-il, « l'industrie horlogère suisse a encore de beaux jours devant elle en raison du statut attaché à la possession d'une belle montre. Tant que certaines personnes auront besoin d'une Mercedes, d'une Porsche et d'une montre de luxe au poignet pour se sentir supérieures, alors les perspectives demeurent roses ».
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