L’année 2011 représente la deuxième année consécutive de progression en termes de chiffre d’affaires.
« Pour la première fois, le seuil des 14 millions de montres vendues a été franchi en 2011, propulsant le chiffre d’affaires à hauteur de 1,36 milliard d’euros. Avec un bond des revenus annuels de +9% en 2011, l’horlogerie est un secteur qui connait une belle progression » analyse Benoit Lehut, directeur général adjoint Home and LifeStyle chez GfK Consumer Choices France.
« Quel que soit la stratégie de positionnement, une large majorité des acteurs a capté la dynamique du marché. Ce sont notamment les modèles aux prix TTC les plus élevés, à partir de 3.000 euros, qui ont progressé de manière significative (+13% du chiffre d’affaires sur cette catégorie), pour représenter près d’un tiers du chiffre d’affaires global du secteur horloger en France » précise encore cette étude.
« Le problème n’est donc pas de vendre mais de produire ! » affirment les responsables de cette enquête. Si l’Asie est devenue le marché où la demande pour les produits de luxe est la plus importante, la tendance est également à la hausse en Europe avec une augmentation de la demande de +2% et un chiffre d’affaires en progression de +5%.
« Historiquement, la France est un des moteurs de cette croissance, de même que le Royaume-Uni où le segment haut de gamme enregistre une hausse de +12% en une année seulement. Les britanniques plébiscitent la haute-finition en sélectionnant des garde-temps de plus de 5,000 euros » ajoute Cécile Poulet, directrice de clientèle chez GfK Consumer Choices France.
Quant au consommateur allemand, il contribue avantageusement à la croissance du secteur : +11,6% de chiffre d’affaires. A l’instar du marché français, ce sont les petits prix et le très haut de gamme qui ont tiré le marché outre-Rhin.
Précisons que GfK est l’un des instituts de recherches les plus importants au monde.
« Pour la première fois, le seuil des 14 millions de montres vendues a été franchi en 2011, propulsant le chiffre d’affaires à hauteur de 1,36 milliard d’euros. Avec un bond des revenus annuels de +9% en 2011, l’horlogerie est un secteur qui connait une belle progression » analyse Benoit Lehut, directeur général adjoint Home and LifeStyle chez GfK Consumer Choices France.
« Quel que soit la stratégie de positionnement, une large majorité des acteurs a capté la dynamique du marché. Ce sont notamment les modèles aux prix TTC les plus élevés, à partir de 3.000 euros, qui ont progressé de manière significative (+13% du chiffre d’affaires sur cette catégorie), pour représenter près d’un tiers du chiffre d’affaires global du secteur horloger en France » précise encore cette étude.
« Le problème n’est donc pas de vendre mais de produire ! » affirment les responsables de cette enquête. Si l’Asie est devenue le marché où la demande pour les produits de luxe est la plus importante, la tendance est également à la hausse en Europe avec une augmentation de la demande de +2% et un chiffre d’affaires en progression de +5%.
« Historiquement, la France est un des moteurs de cette croissance, de même que le Royaume-Uni où le segment haut de gamme enregistre une hausse de +12% en une année seulement. Les britanniques plébiscitent la haute-finition en sélectionnant des garde-temps de plus de 5,000 euros » ajoute Cécile Poulet, directrice de clientèle chez GfK Consumer Choices France.
Quant au consommateur allemand, il contribue avantageusement à la croissance du secteur : +11,6% de chiffre d’affaires. A l’instar du marché français, ce sont les petits prix et le très haut de gamme qui ont tiré le marché outre-Rhin.
Précisons que GfK est l’un des instituts de recherches les plus importants au monde.