Durant les années 1920, le « twist » s’illustra aussi dans l’affichage de l’heure ! Il fallait alors que l’esthétique et la sophistication technique soient assorties et qu’à la manière de la Haute Couture,
ce qui ne se voyait pas jusqu’alors -la mécanique- apparaisse aussi raffiné que ce qui se voyait
au premier regard – l’habillage.
En 1924, conscient de la haute finition apportée à ses composants horlogers, Vacheron Constantin présente donc sa première montre de poche dite squelette. Le design suit la tendance définie par la période que l’on nomme Art Déco : une quête de parfait équilibre entre prouesse technique et excellence esthétique.
On aboutit alors au jeu de la transparence mécanique permise par le travail de glyptique, ou l’art de tailler et graver la pierre, en l’occurrence le cristal de roche. L’horloger et le graveur, quant à eux, ajourent et décorent les ponts et la platine du mouvement, en or, en maillechort ou en laiton.
Sur cette montre, les aiguilles sont serties de diamants. Détail d’une évolution admise du garde-temps traditionnel vers la montre joaillière.
En pleine période Art Déco, ces montres vont être prisées par les joailliers et bijoutiers ayant pignon sur rue et cherchant à diversifier leur offre à l’heure où la montre se veut de plus en plus bijou et accessoire à la mode.
C’est la raison pour laquelle ces garde-temps reprennent l’entièreté des codes esthétiques de l’époque : une bélière trapézoïdale, des animations de cadrans, de mouvements ou de boîtes et parfois des doubles signatures. Ici, une double signature Charlton & co, joaillier américain fondé en 1909 à New York puis installé à Palm Beach en Floride et rue de la Paix à Paris.
Les Américains étaient alors désireux de suivre les tendances européennes de la joaillerie, en particulier celles de Paris, qui à cette époque était considérée comme l’épicentre de la conception
et de l’artisanat des bijoux.
Les mouvements, eux, se devaient d’être signés des meilleurs horlogers suisses. En 1933, Vacheron Constantin livrera une montre de poche squelette similaire à celle-ci au roi Alexandre de Yougoslavie et Serbie.
ce qui ne se voyait pas jusqu’alors -la mécanique- apparaisse aussi raffiné que ce qui se voyait
au premier regard – l’habillage.
En 1924, conscient de la haute finition apportée à ses composants horlogers, Vacheron Constantin présente donc sa première montre de poche dite squelette. Le design suit la tendance définie par la période que l’on nomme Art Déco : une quête de parfait équilibre entre prouesse technique et excellence esthétique.
On aboutit alors au jeu de la transparence mécanique permise par le travail de glyptique, ou l’art de tailler et graver la pierre, en l’occurrence le cristal de roche. L’horloger et le graveur, quant à eux, ajourent et décorent les ponts et la platine du mouvement, en or, en maillechort ou en laiton.
Sur cette montre, les aiguilles sont serties de diamants. Détail d’une évolution admise du garde-temps traditionnel vers la montre joaillière.
En pleine période Art Déco, ces montres vont être prisées par les joailliers et bijoutiers ayant pignon sur rue et cherchant à diversifier leur offre à l’heure où la montre se veut de plus en plus bijou et accessoire à la mode.
C’est la raison pour laquelle ces garde-temps reprennent l’entièreté des codes esthétiques de l’époque : une bélière trapézoïdale, des animations de cadrans, de mouvements ou de boîtes et parfois des doubles signatures. Ici, une double signature Charlton & co, joaillier américain fondé en 1909 à New York puis installé à Palm Beach en Floride et rue de la Paix à Paris.
Les Américains étaient alors désireux de suivre les tendances européennes de la joaillerie, en particulier celles de Paris, qui à cette époque était considérée comme l’épicentre de la conception
et de l’artisanat des bijoux.
Les mouvements, eux, se devaient d’être signés des meilleurs horlogers suisses. En 1933, Vacheron Constantin livrera une montre de poche squelette similaire à celle-ci au roi Alexandre de Yougoslavie et Serbie.