Ce fut l’une des bonnes surprises de Watches & Wonders 2025. Le retour de Zenith avec une collection très exclusive et très horlogère qui ne sera produite qu’en petites quantités et, toujours dans des métaux précieux. Du haut de gamme avec des calibres et des cadrans d’exception dans un style classique donc intemporel.
On le sait, cette année, la manufacture Zenith (groupe LVMH), célèbre son 160ᵉ anniversaire puisqu’elle fut créée en 1865 par Georges Favre-Jacot. Dans cet esprit, cette nouvelle collection reprend les initiales de son fondateur tout en redonnant vie au mythique calibre 135,
Petit retour en arrière… Il y a plusieurs décennies, les concours de chronométrie des observatoires jouaient un rôle central dans l’horlogerie. Bien plus qu’un simple exercice scientifique, ces compétitions représentaient un enjeu de prestige majeur.
On le sait, cette année, la manufacture Zenith (groupe LVMH), célèbre son 160ᵉ anniversaire puisqu’elle fut créée en 1865 par Georges Favre-Jacot. Dans cet esprit, cette nouvelle collection reprend les initiales de son fondateur tout en redonnant vie au mythique calibre 135,
Petit retour en arrière… Il y a plusieurs décennies, les concours de chronométrie des observatoires jouaient un rôle central dans l’horlogerie. Bien plus qu’un simple exercice scientifique, ces compétitions représentaient un enjeu de prestige majeur.
Les observatoires étaient les garants ultimes de la précision, validant le savoir-faire des horlogers les plus talentueux. Conscientes de l’impact de ces distinctions, les maisons soumettaient à ces épreuves des mouvements spécialement conçus pour l’excellence.
Dès 1897, Zenith s’engagea dans cette quête de précision et se forgea une réputation inégalée. Au fil des décennies, ses mouvements remportèrent un record absolu de 2.333 prix de chronométrie, un exploit sans équivalent dans l’histoire de l’horlogerie !
Parmi ces distinctions, un mouvement brille plus que tous les autres : le mythique calibre 135. Imaginé par Ephrem Jobin à la demande de Charles Ziegler, alors directeur technique de la manufacture, ce mouvement était conçu pour exceller dans les prestigieux concours de chronométrie organisés par les observatoires de Neuchâtel, Genève, Kew Teddington et Besançon.
Dès 1897, Zenith s’engagea dans cette quête de précision et se forgea une réputation inégalée. Au fil des décennies, ses mouvements remportèrent un record absolu de 2.333 prix de chronométrie, un exploit sans équivalent dans l’histoire de l’horlogerie !
Parmi ces distinctions, un mouvement brille plus que tous les autres : le mythique calibre 135. Imaginé par Ephrem Jobin à la demande de Charles Ziegler, alors directeur technique de la manufacture, ce mouvement était conçu pour exceller dans les prestigieux concours de chronométrie organisés par les observatoires de Neuchâtel, Genève, Kew Teddington et Besançon.
Sa dénomination « 135 » fait référence à ses dimensions : 13 lignes (soit 30 mm, la taille maximale autorisée pour la catégorie montres-bracelets du concours de Neuchâtel) et 5 mm d’épaisseur.
Fabriqué entre 1949 et 1962, ce calibre fut décliner en deux versions distinctes : une version commerciale (calibre 135), et une version spécialement optimisée pour les compétitions (calibre 135-O), réservée aux concours de chronométrie.
Avec 235 distinctions, le calibre 135-O s’imposa comme une référence absolue.
Grâce au travail méticuleux des célèbres chronométreurs Charles Fleck et René Gygax, il réalisa un exploit inégalé : décrocher cinq premiers prix consécutifs dans la catégorie montres-bracelets à l’Observatoire de Neuchâtel, entre 1950 et 1954.
Fabriqué entre 1949 et 1962, ce calibre fut décliner en deux versions distinctes : une version commerciale (calibre 135), et une version spécialement optimisée pour les compétitions (calibre 135-O), réservée aux concours de chronométrie.
Avec 235 distinctions, le calibre 135-O s’imposa comme une référence absolue.
Grâce au travail méticuleux des célèbres chronométreurs Charles Fleck et René Gygax, il réalisa un exploit inégalé : décrocher cinq premiers prix consécutifs dans la catégorie montres-bracelets à l’Observatoire de Neuchâtel, entre 1950 et 1954.
On se souvient qu’en 2022, Zenith fit revivre la légende du calibre 135-O à travers une collaboration d’exception avec Kari Voutilainen et Phillips, en association avec Bacs & Russo.
En tout, dix mouvements historiques, issus des années 1950-1954, période où ils enchaînèrent les victoires aux concours de chronométrie, furent restaurés et sublimés par le maître horloger Kari Voutilainen.
Produite en édition ultra-limitée, cette réinterprétation a immédiatement séduit les collectionneurs. Aujourd’hui donc, la manufacture donne un nouveau souffle au calibre 135 en le réimaginant avec une approche contemporaine.
En tout, dix mouvements historiques, issus des années 1950-1954, période où ils enchaînèrent les victoires aux concours de chronométrie, furent restaurés et sublimés par le maître horloger Kari Voutilainen.
Produite en édition ultra-limitée, cette réinterprétation a immédiatement séduit les collectionneurs. Aujourd’hui donc, la manufacture donne un nouveau souffle au calibre 135 en le réimaginant avec une approche contemporaine.
Naturellement, son architecture et son esthétique restent fidèles à l’original, mais son ingénierie a été entièrement repensée pour l’adapter aux standards horlogers les plus exigeants du XXIe siècle. Parmi les évolutions majeures, la roue de centre décalée libère l’espace nécessaire pour un balancier surdimensionné, améliorant la précision et la stabilité du mouvement.
Le barillet assure désormais une réserve de marche de 72 heures (week-end proof), contre 40 heures pour la version originale des années 1950. Son train de rouage optimisé améliore l’efficacité du mouvement grâce à une géométrie retravaillée.
Battant à une fréquence de 2,5 Hz, le balancier est désormais équipé de vis de réglage et d’un spiral Breguet. Autre élément signature du 135-O, le régulateur à double flèche permet un réglage extrêmement précis.
Le barillet assure désormais une réserve de marche de 72 heures (week-end proof), contre 40 heures pour la version originale des années 1950. Son train de rouage optimisé améliore l’efficacité du mouvement grâce à une géométrie retravaillée.
Battant à une fréquence de 2,5 Hz, le balancier est désormais équipé de vis de réglage et d’un spiral Breguet. Autre élément signature du 135-O, le régulateur à double flèche permet un réglage extrêmement précis.
Un mécanisme stop-seconde a été ajouté pour garantir un réglage à la seconde près, tandis que l’axe du balancier bénéficie désormais de chatons montés sur ressorts, renforçant ainsi la résistance aux chocs.
Chaque mouvement est ajusté pour garantir une précision de +/-2 secondes par jour, et bénéficie de la certification COSC. Il arbore par ailleurs, une finition sobre et sophistiquée : les ponts, finement décorés d’un guilloché "brique", évoquent la façade emblématique de la manufacture où les briques rouges et blanches forment les initiales G.F.J., en hommage à Georges Favre-Jacot.
Le barillet arbore une finition satinée circulaire, tandis que la roue de couronne, polie noir, capte la lumière avec une profondeur saisissante. Enfin, les rubis de grande taille ajoutent une touche de sophistication, sublimant chaque détail du mouvement.
Chaque mouvement est ajusté pour garantir une précision de +/-2 secondes par jour, et bénéficie de la certification COSC. Il arbore par ailleurs, une finition sobre et sophistiquée : les ponts, finement décorés d’un guilloché "brique", évoquent la façade emblématique de la manufacture où les briques rouges et blanches forment les initiales G.F.J., en hommage à Georges Favre-Jacot.
Le barillet arbore une finition satinée circulaire, tandis que la roue de couronne, polie noir, capte la lumière avec une profondeur saisissante. Enfin, les rubis de grande taille ajoutent une touche de sophistication, sublimant chaque détail du mouvement.
Cette nouvelle G.F.J. est équipée d’un boîtier en platine de 39 mm rond (étanche à 50 mètres) qui se distingue par une lunette étagée et des cornes incurvées à paliers. Son profil est sublimé par un jeu de finitions contrastées, alternant surfaces brossées et polies. La couronne crantée, quant à elle, arbore fièrement les initiales G.F.J.
Sous son verre saphir bombé, la G.F.J. révèle un cadran bleu profond, couleur emblématique de la marque. Sa construction en trois parties crée une impression de profondeur.
Sur l’anneau extérieur, un guilloché “brique” rend hommage à la façade iconique de la manufacture. Des index facettés en or blanc ponctuent l’ensemble, accompagnés d’un discret chemin de fer composé de 40 perles en or blanc, appliquées à la main.
La partie centrale, réalisée en lapis-lazuli est traversée de fines incrustations de pyrite dorée, évoquant naturellement un ciel étoilé. Enfin, à 6h, le grand compteur des secondes en nacre apporte une touche de douceur et d’éclat. Les heures, les minutes et les secondes sont affichées par de fines aiguilles bâton en or blanc.
Cette montre s’accompagne de trois bracelets interchangeables : un alligator bleu profond, un veau noir et un bracelet en veau bleu "Saffiano" au fini texturé. L’ensemble est complété par une boucle ardillon en platine, finement gravée des initiales G.F.J. et du motif "brique".
Pour ceux qui recherchent une alternative encore plus exclusive, un bracelet en platine à sept rangs, dont les maillons centraux reprennent ce même motif emblématique, est disponible sur demande.
Edition limitée à 160 exemplaires, la G.F.J. est disponible en précommande exclusivement dans les boutiques Zenith, physiques et en ligne, ainsi que chez les détaillants agréés à travers le monde.
Sous son verre saphir bombé, la G.F.J. révèle un cadran bleu profond, couleur emblématique de la marque. Sa construction en trois parties crée une impression de profondeur.
Sur l’anneau extérieur, un guilloché “brique” rend hommage à la façade iconique de la manufacture. Des index facettés en or blanc ponctuent l’ensemble, accompagnés d’un discret chemin de fer composé de 40 perles en or blanc, appliquées à la main.
La partie centrale, réalisée en lapis-lazuli est traversée de fines incrustations de pyrite dorée, évoquant naturellement un ciel étoilé. Enfin, à 6h, le grand compteur des secondes en nacre apporte une touche de douceur et d’éclat. Les heures, les minutes et les secondes sont affichées par de fines aiguilles bâton en or blanc.
Cette montre s’accompagne de trois bracelets interchangeables : un alligator bleu profond, un veau noir et un bracelet en veau bleu "Saffiano" au fini texturé. L’ensemble est complété par une boucle ardillon en platine, finement gravée des initiales G.F.J. et du motif "brique".
Pour ceux qui recherchent une alternative encore plus exclusive, un bracelet en platine à sept rangs, dont les maillons centraux reprennent ce même motif emblématique, est disponible sur demande.
Edition limitée à 160 exemplaires, la G.F.J. est disponible en précommande exclusivement dans les boutiques Zenith, physiques et en ligne, ainsi que chez les détaillants agréés à travers le monde.
