Au-delà de son design très caractéristique, cette montre de chez Hamilton née en 1957 est mythique pour au moins deux raisons : tout d’abord elle fut portée par Elvis Presley dans le film Sous le ciel bleu d’Hawaï (1960) et ensuite, ce fut également la toute première montre électrique au monde. Une révolution pour l’époque, même si le concept ne prit jamais vraiment d’ampleur à l’époque.
Depuis, cette montre fait partie des grands classiques de l’horloger américain qui appartient de nos jours au Swatch Group. De très nombreuses versions ont été développées depuis son lancement mais ce modèle revient en force, surtout depuis quelques années, notamment avec la mode du vintage.
Cette année, Hamilton poursuit donc le développement de cette gamme avec l’arrivée de cette Ventura Flex qui, comme son nom l’indique, est équipée d’un bracelet métal ultrasouple. L'un est en acier et l’autre en traité PVD or jaune. Le cadran noir ou blanc typique de la Ventura, orné du motif impulsion électrique, est protégé par l’inimitable boîtier triangulaire (32,3 x 50,3 mm ; étanche 50 mètres) qui accueille dans cette version un calibre quartz.
Naturellement adapté à la forme du poignet, le bracelet peut être étiré pour être enfilé et remonté sur le bras, sans fermoir ni boucle, comme dans les années 50 ! Ensuite, il reprend immédiatement sa forme originale et vient parfaitement épouser les contours du poignet. Le tout à moins de 800 euros. Rappelons qu’Hamilton est commercialisé, entre autres, chez Forges à Paris.
Depuis, cette montre fait partie des grands classiques de l’horloger américain qui appartient de nos jours au Swatch Group. De très nombreuses versions ont été développées depuis son lancement mais ce modèle revient en force, surtout depuis quelques années, notamment avec la mode du vintage.
Cette année, Hamilton poursuit donc le développement de cette gamme avec l’arrivée de cette Ventura Flex qui, comme son nom l’indique, est équipée d’un bracelet métal ultrasouple. L'un est en acier et l’autre en traité PVD or jaune. Le cadran noir ou blanc typique de la Ventura, orné du motif impulsion électrique, est protégé par l’inimitable boîtier triangulaire (32,3 x 50,3 mm ; étanche 50 mètres) qui accueille dans cette version un calibre quartz.
Naturellement adapté à la forme du poignet, le bracelet peut être étiré pour être enfilé et remonté sur le bras, sans fermoir ni boucle, comme dans les années 50 ! Ensuite, il reprend immédiatement sa forme originale et vient parfaitement épouser les contours du poignet. Le tout à moins de 800 euros. Rappelons qu’Hamilton est commercialisé, entre autres, chez Forges à Paris.
