En matière d’anciennes techniques pour mesurer le temps, on connait principalement le fameux cadran solaire (probablement l’une des plus anciennes qui soit) dont les tous premiers exemplaires apparurent en Egypte au 4ème siècle avant JC. En Europe, le sablier est quant à lui imaginé au 8ème siècle et les premières horloges au 14ème siècle…
Mais ce que l’on sait moins, ce que les Asiatiques (de la Chine au Japon en passant par l’Inde) avaient également une technique intéressante et relativement précise : l’horloge à encens qui apparait pour la première fois au 6ème siècle (certains estiment qu’elle vient d’Inde et d’autres de Chine) et qui se démocratise durant la dynastie chinoise Song au 10ème siècle ; que l’on connaitra grâce, notamment, aux écrits de Marco Polo.
Tous ceux qui utilisent de l’encens régulièrement le savent : un bâton d’encens se consume toujours à la même vitesse (ou presque)… Partant de ce constat, il n’est pas étonnant que les Asiatiques aient imaginé d’utiliser l’encens pour mesurer le temps qui passe et la durée de certains évènements.
C’est ainsi qu’à partir du 6ème siècle en Asie, en Inde, au Japon, en Corée et bien évidemment en Chine, on trouvait des horloges à encens dont la durée de combustion permettait de mesurer les minutes, les heures, voire même les jours.
Certaines de ces horloges étaient aussi associées à des cloches ou des gongs qui venaient marquer certains temps plus importants. On trouvait principalement ces instruments de mesure dans les temples mais également dans certaines maisons, probablement chez les nobles et plus tard chez de riches marchands.
Les plus courantes étaient les horloges à bâton d’encens (droits ou en spirale) ; on pouvait changer les parfums afin que les différents temps ne soient pas rythmés avec la même odeur. En Chine par exemple, elles pouvaient être utilisées pour espacer la prise de médicaments ; et au Japon, jusqu’en 1924, elles servaient à mesurer le temps passé avec une geisha, ce qui déterminait, in fine, le prix à payer !
Mais ce que l’on sait moins, ce que les Asiatiques (de la Chine au Japon en passant par l’Inde) avaient également une technique intéressante et relativement précise : l’horloge à encens qui apparait pour la première fois au 6ème siècle (certains estiment qu’elle vient d’Inde et d’autres de Chine) et qui se démocratise durant la dynastie chinoise Song au 10ème siècle ; que l’on connaitra grâce, notamment, aux écrits de Marco Polo.
Tous ceux qui utilisent de l’encens régulièrement le savent : un bâton d’encens se consume toujours à la même vitesse (ou presque)… Partant de ce constat, il n’est pas étonnant que les Asiatiques aient imaginé d’utiliser l’encens pour mesurer le temps qui passe et la durée de certains évènements.
C’est ainsi qu’à partir du 6ème siècle en Asie, en Inde, au Japon, en Corée et bien évidemment en Chine, on trouvait des horloges à encens dont la durée de combustion permettait de mesurer les minutes, les heures, voire même les jours.
Certaines de ces horloges étaient aussi associées à des cloches ou des gongs qui venaient marquer certains temps plus importants. On trouvait principalement ces instruments de mesure dans les temples mais également dans certaines maisons, probablement chez les nobles et plus tard chez de riches marchands.
Les plus courantes étaient les horloges à bâton d’encens (droits ou en spirale) ; on pouvait changer les parfums afin que les différents temps ne soient pas rythmés avec la même odeur. En Chine par exemple, elles pouvaient être utilisées pour espacer la prise de médicaments ; et au Japon, jusqu’en 1924, elles servaient à mesurer le temps passé avec une geisha, ce qui déterminait, in fine, le prix à payer !