Le vintage est à la mode depuis plus de cinq ans déjà. Plus qu’une mode, c’est une véritable tendance de fond qui a fini par s’imposer dans notre vie de tous les jours. Et dans pratiquement tous les domaines. De la décoration à la voiture en passant par les vêtements et bien sûr, les montres qui furent parmi les premiers accessoires à revenir… trente ans en arrière !
Ce nouveau bracelet ISOfrane 1968 s’inscrit parfaitement dans cet esprit « revival ». Un produit qui fleure bon les années 60/70 dans sa forme et son design, mais avec des matières premières résolument contemporaines. Ce strap fait immédiatement penser aux bracelets caoutchouc d’antan, ceux qui équipaient les plongeuses vintage (de Longines à Seiko en passant par Kelton et bien d’autres). Et pour cause, ISOfrane était l’un des plus gros fournisseurs de bracelets dans les années 60/70 ; des straps fabriqués à l’époque à base d’isoprene, un composant dérivé du pétrole.
La marque a été relancée en 2010. D’origine autrichienne, la fabrication est désormais italienne. D’un bon rapport qualité/prix, compter une centaine d’euros avec la boucle, ces bracelets en caoutchouc à trous souples et résistants, sont disponibles en noir, khaki, bleu, orange ou jaune ; 20, 22 et 24 mm. Même leur odeur rappelle celle de nos vieilles tocantes. Nous, on craque ! Une fois installé, le rendu est vraiment chouette, qu’il s’agisse d’une Rolex, d’une Omega, d’une Longines, d’une Blancpain Fifty Fathoms, etc.
Ce nouveau bracelet ISOfrane 1968 s’inscrit parfaitement dans cet esprit « revival ». Un produit qui fleure bon les années 60/70 dans sa forme et son design, mais avec des matières premières résolument contemporaines. Ce strap fait immédiatement penser aux bracelets caoutchouc d’antan, ceux qui équipaient les plongeuses vintage (de Longines à Seiko en passant par Kelton et bien d’autres). Et pour cause, ISOfrane était l’un des plus gros fournisseurs de bracelets dans les années 60/70 ; des straps fabriqués à l’époque à base d’isoprene, un composant dérivé du pétrole.
La marque a été relancée en 2010. D’origine autrichienne, la fabrication est désormais italienne. D’un bon rapport qualité/prix, compter une centaine d’euros avec la boucle, ces bracelets en caoutchouc à trous souples et résistants, sont disponibles en noir, khaki, bleu, orange ou jaune ; 20, 22 et 24 mm. Même leur odeur rappelle celle de nos vieilles tocantes. Nous, on craque ! Une fois installé, le rendu est vraiment chouette, qu’il s’agisse d’une Rolex, d’une Omega, d’une Longines, d’une Blancpain Fifty Fathoms, etc.