Même si dans les années 30, le Portugal ne figure plus parmi les grandes puissances mondiales et que son rôle sur les mers du globe n’est plus dominant, dans les veines des Portugais coule encore le sang des grands maîtres des océans.
C’est à cette époque que deux marchands de montres portugais se rendirent à Schaffhouse pour frapper à la porte d’IWC. C’est à cette époque également que démarre l’histoire de celle que tous les amateurs de montres appellent la Portugaise.
Les deux commerçants lusitaniens demandèrent à ce qu’on leur créât une montre-bracelet au boîtier en acier fin qui présenterait les mêmes qualités qu’un chronomètre de marine. Or à cette époque, ce type de montre n’était disponible qu’en format de poche.
Les maîtres horlogers d’IWC se sont donc penchés sur ce dossier et le calibre 74, avec son mouvement monté sur un pont, fut détourné de sa vocation d’origine (une montre savonnette), pour devenir une montre-bracelet. A l’époque, le résultat allait complètement à l’encontre de la mode qui était aux petites montres de style Art déco.
Les deux commerçants portugais écrivaient ainsi en 1939 les premières pages de l’histoire des montres Portugaises d’IWC, famille de montres uniques appelée à dépasser les modes. D’ailleurs la Portugaise est revenue sur le devant de la scène en 1993 avec une série spéciale célébrant le 125ème anniversaire de la manufacture. Depuis, cette gamme s’est enrichie de nombreux modèles (chronos, tourbillon, calendrier perpétuel, etc.) qui ont tous en commun une élégance sans compromis et de généreuses dimensions.
Empruntant de nombreux éléments et décorations au calibre originel Jones, un joyau horloger signé IWC, la Portugaise F.A. Jones rend hommage en 2005 au fondateur de la manufacture, Florentine Ariosto Jones. Cette année là, la famille des Portugaises s’est enrichie de la Tourbillon Mystère en or blanc référence 5042. La Perpetual Calendar référence 5021 est doté d’un affichage « countdown » indiquant le nombre de jours jusqu’à la prochaine pleine lune. Une autre nouveauté est la Portugaise Perpetual Calendar référence 5022 avec indication classique des phases lunaires. Et n’oublions pas l’arrivée en 2006 de la Portugaise Chrono-Automatic en or blanc, une série limitée à 2000 exemplaires.
C’est à cette époque que deux marchands de montres portugais se rendirent à Schaffhouse pour frapper à la porte d’IWC. C’est à cette époque également que démarre l’histoire de celle que tous les amateurs de montres appellent la Portugaise.
Les deux commerçants lusitaniens demandèrent à ce qu’on leur créât une montre-bracelet au boîtier en acier fin qui présenterait les mêmes qualités qu’un chronomètre de marine. Or à cette époque, ce type de montre n’était disponible qu’en format de poche.
Les maîtres horlogers d’IWC se sont donc penchés sur ce dossier et le calibre 74, avec son mouvement monté sur un pont, fut détourné de sa vocation d’origine (une montre savonnette), pour devenir une montre-bracelet. A l’époque, le résultat allait complètement à l’encontre de la mode qui était aux petites montres de style Art déco.
Les deux commerçants portugais écrivaient ainsi en 1939 les premières pages de l’histoire des montres Portugaises d’IWC, famille de montres uniques appelée à dépasser les modes. D’ailleurs la Portugaise est revenue sur le devant de la scène en 1993 avec une série spéciale célébrant le 125ème anniversaire de la manufacture. Depuis, cette gamme s’est enrichie de nombreux modèles (chronos, tourbillon, calendrier perpétuel, etc.) qui ont tous en commun une élégance sans compromis et de généreuses dimensions.
Empruntant de nombreux éléments et décorations au calibre originel Jones, un joyau horloger signé IWC, la Portugaise F.A. Jones rend hommage en 2005 au fondateur de la manufacture, Florentine Ariosto Jones. Cette année là, la famille des Portugaises s’est enrichie de la Tourbillon Mystère en or blanc référence 5042. La Perpetual Calendar référence 5021 est doté d’un affichage « countdown » indiquant le nombre de jours jusqu’à la prochaine pleine lune. Une autre nouveauté est la Portugaise Perpetual Calendar référence 5022 avec indication classique des phases lunaires. Et n’oublions pas l’arrivée en 2006 de la Portugaise Chrono-Automatic en or blanc, une série limitée à 2000 exemplaires.
Le mouvement originel d’IWC
La marque n’existerait pas sans F.A. Jones. Lorsqu’il quitte la manufacture horlogère en 1868, il laisse une empreinte indélébile, une hérédité que la Portugaise F.A. Jones veut aujourd’hui commémorer. A ses débuts, Jones s’était lancé dans l’aventure avec une demi-douzaine de modèles de calibres de base. Ces derniers sont entrés dans l’histoire de l’horlogerie sous le nom de calibre Jones et présentent tous la même caractéristique technique : une queue de raquette surdimensionnée pour un réglage plus aisé et précis de la fréquence d’oscillation, la « flèche Jones ». Cette pièce va du pont de balancier à la platine trois quarts. Les montres IWC équipées d’un calibre Jones sont aujourd’hui très recherchées par les collectionneurs.