1967, Raquel Welch est une star mondiale. Son dernier film, Une nana nommée Fathom de Leslie H. Martinson, vient de sortir. On y découvre l’actrice -qui joue le rôle d’une championne de parachutisme- vêtue d’une combinaison blanche avec au poignet, un imposant chronographe…
Si, de nos jours, il n’est pas rare de voir une femme arborer une « grosse montre » à son poignet, ce n’était pas le cas à l’époque ! Loin s’en faut. Tout le monde remarqua donc immédiatement cette « montre d’homme » au poignet de Raquel…
Il s’agissait d’une Breitling Co-Pilot réf. 765AVI (rééditée en 2020 par Breitling). Un choix judicieux pour ce rôle de parachutiste puisque cette montre était une véritable « montre d’aviateur ». Il s’agissait, plus précisément, d’un chronographe trois compteurs en « V » datant des années 60 qui sera produit une quinzaine d’années, entre 1953 et 1978.
Pour la petite histoire, à l’origine, Breitling espérait vendre cette montre à l’armée de l’air française qui la refusa car elle n’était pas dotée de la fonction « retour en vol » (contrairement aux modèles Type XX).
Le modèle porté par Raquel Welch dans le film était doté d’un boitier en acier de 41 mm (très « gros » pour l’époque), d'une lunette tournante bidirectionnelle et d’un cadran « panda inversé », c’est-à-dire, noir avec compteurs blancs. Les aiguilles et les index étaient recouverts de tritium (la matière luminescente de l’époque qui sera plus tard abandonnée car radioactive).
Côté mouvement, cette montre embarquait le fameux calibre Venus 178, modifié afin d’afficher un compteur « 15 minutes » (au lieu de 30) à 9h. Ce compteur est issu des origines aéronautiques de Breitling.
En effet, on considérait que 15 minutes était le temps nécessaire pour réaliser la check-list avant de pouvoir prendre son envol. Ce compteur arborait d’ailleurs une petite spécificité : en effet, il était divisé en cinq segments matérialisés par cinq index en tritium.
Avec le temps, les collectionneurs surnommeront ce chrono Breitling, le « Raquel Welch ». D’ailleurs, l’horloger lui-même, mettra en avant la star dans une publicité de l’époque.
Si, de nos jours, il n’est pas rare de voir une femme arborer une « grosse montre » à son poignet, ce n’était pas le cas à l’époque ! Loin s’en faut. Tout le monde remarqua donc immédiatement cette « montre d’homme » au poignet de Raquel…
Il s’agissait d’une Breitling Co-Pilot réf. 765AVI (rééditée en 2020 par Breitling). Un choix judicieux pour ce rôle de parachutiste puisque cette montre était une véritable « montre d’aviateur ». Il s’agissait, plus précisément, d’un chronographe trois compteurs en « V » datant des années 60 qui sera produit une quinzaine d’années, entre 1953 et 1978.
Pour la petite histoire, à l’origine, Breitling espérait vendre cette montre à l’armée de l’air française qui la refusa car elle n’était pas dotée de la fonction « retour en vol » (contrairement aux modèles Type XX).
Le modèle porté par Raquel Welch dans le film était doté d’un boitier en acier de 41 mm (très « gros » pour l’époque), d'une lunette tournante bidirectionnelle et d’un cadran « panda inversé », c’est-à-dire, noir avec compteurs blancs. Les aiguilles et les index étaient recouverts de tritium (la matière luminescente de l’époque qui sera plus tard abandonnée car radioactive).
Côté mouvement, cette montre embarquait le fameux calibre Venus 178, modifié afin d’afficher un compteur « 15 minutes » (au lieu de 30) à 9h. Ce compteur est issu des origines aéronautiques de Breitling.
En effet, on considérait que 15 minutes était le temps nécessaire pour réaliser la check-list avant de pouvoir prendre son envol. Ce compteur arborait d’ailleurs une petite spécificité : en effet, il était divisé en cinq segments matérialisés par cinq index en tritium.
Avec le temps, les collectionneurs surnommeront ce chrono Breitling, le « Raquel Welch ». D’ailleurs, l’horloger lui-même, mettra en avant la star dans une publicité de l’époque.