La Longines Dolcevita fait partie des modèles de montres de forme -rectangles en l’occurrence- incontournables sur le marché de l’horlogerie féminine. Une montre ultra-classique qui sait, cependant, se « dévergonder » dès qu’elle change de bracelet !
C’est le cas cette année, puisque Longines, en collaboration avec la créative entreprise d’origine zurichoise d’accessoires sophistiqués Yvy, a imaginé des bracelets en cuir glam-rock qui offre à ce modèle une belle cure de jouvence.
Ces straps ont été imaginés par la créatrice suisse Yvonne Reichmuth : leur design renvoie bien évidemment au monde équestre cher à Longines et évoque des brides et des harnais de chevaux.
C’est le cas cette année, puisque Longines, en collaboration avec la créative entreprise d’origine zurichoise d’accessoires sophistiqués Yvy, a imaginé des bracelets en cuir glam-rock qui offre à ce modèle une belle cure de jouvence.
Ces straps ont été imaginés par la créatrice suisse Yvonne Reichmuth : leur design renvoie bien évidemment au monde équestre cher à Longines et évoque des brides et des harnais de chevaux.
Cette Dolcevita se porte sur des bracelets dédoublés en cuir déclinés en trois tonalités : double cuir beige, brun et assorti de rivets pour le noir. Ils sont réalisés selon une méthode de fabrication traditionnelle.
« Nous avons souhaité développer ensemble une nouvelle approche du monde du cheval et de ses brides », rappelle Yvonne Reichmuth, fondatrice d’Yvy. Lien de complicité qui unit le cavalier à sa monture, cet auxiliaire indispensable qui habille tête et cou de l’équidé rappelle la symbiose qui voit le jour entre le poignet de l’être humain et son garde-temps.
« Nous avons souhaité développer ensemble une nouvelle approche du monde du cheval et de ses brides », rappelle Yvonne Reichmuth, fondatrice d’Yvy. Lien de complicité qui unit le cavalier à sa monture, cet auxiliaire indispensable qui habille tête et cou de l’équidé rappelle la symbiose qui voit le jour entre le poignet de l’être humain et son garde-temps.
La designer ajoute : « l’idée de modularité du bracelet était née, afin de créer une montre que l’on peut porter avec classe dans des styles différents.»
« Proposée avec deux boîtiers de dimensions différentes, elle convient autant à un poignet féminin que masculin » promet quant à lui Matthias Breschan, PDG de la marque horlogère de St-Imier. A découvrir chez Emile Leon à Paris, qui offre un très bel espace Longines.
« Proposée avec deux boîtiers de dimensions différentes, elle convient autant à un poignet féminin que masculin » promet quant à lui Matthias Breschan, PDG de la marque horlogère de St-Imier. A découvrir chez Emile Leon à Paris, qui offre un très bel espace Longines.