Les montres des « grands hommes » fascinent, à raison d’ailleurs, les collectionneurs. De Churchill à Gandhi en passant par Adenauer, Roosevelt et bien d’autres, leurs garde-temps offrent toujours des enchères palpitantes.
A n’en pas douter, cette Calatrava Patek Philippe Réf. 96 en platine avec triple date et phase de Lune, ayant appartenu à Aisin-Gioro Puyi (1906-1967), devrait déchainer les passions. Notamment auprès des clients et collectionneurs asiatiques.
Cette montre sera mise en vente à l’occasion de l’ouverture des nouveaux bureaux Phillips à Hong-Kong.
A n’en pas douter, cette Calatrava Patek Philippe Réf. 96 en platine avec triple date et phase de Lune, ayant appartenu à Aisin-Gioro Puyi (1906-1967), devrait déchainer les passions. Notamment auprès des clients et collectionneurs asiatiques.
Cette montre sera mise en vente à l’occasion de l’ouverture des nouveaux bureaux Phillips à Hong-Kong.
Selon le communiqué de Phillips, seules sept Patek Philippe Réf 96 avec ces complications étaient connues à ce jour. Cette montre, la 8ème donc, en plus de son appartenance impériale, s’avère de fait extrêmement rare.
Cette Calatrava possède un boitier en platine réalisé par Antoine Gerlach et identifié par le poinçon « Key number 4 ». Le cadran bicolore arbore des chiffres arabes, avec aiguilles en or de type feuilles de sauge, jour et mois dans deux guichets au centre et date en périphérie indiquée par le biais d’une aiguille.
Le calibre est un 11’’’ Victorin Piguet ébauche qui fut produit durant la crise économique de 1929. Il ne fut donc jamais monté dans un boitier à l'époque. Avec la présentation la référence 96 comme nouveauté en 1932, le mouvement a été encore amélioré par le fabricant et intégré dans ce boîtier en platine moderniste avec des influences Bauhaus en 1937.
Point important : l’authenticité et les origines de cette montre sont confirmées par la maison Patek Philippe qui précise que ce modèle fabriqué en 1929 fut vendu le 6 octobre 1937.
Cette Calatrava possède un boitier en platine réalisé par Antoine Gerlach et identifié par le poinçon « Key number 4 ». Le cadran bicolore arbore des chiffres arabes, avec aiguilles en or de type feuilles de sauge, jour et mois dans deux guichets au centre et date en périphérie indiquée par le biais d’une aiguille.
Le calibre est un 11’’’ Victorin Piguet ébauche qui fut produit durant la crise économique de 1929. Il ne fut donc jamais monté dans un boitier à l'époque. Avec la présentation la référence 96 comme nouveauté en 1932, le mouvement a été encore amélioré par le fabricant et intégré dans ce boîtier en platine moderniste avec des influences Bauhaus en 1937.
Point important : l’authenticité et les origines de cette montre sont confirmées par la maison Patek Philippe qui précise que ce modèle fabriqué en 1929 fut vendu le 6 octobre 1937.