On le sait, Manuel Emch, le patron de la marque horlogère Louis Erard, est un amateur éclairé d’art contemporain. Dans cet esprit, cette nouvelle collab’ fut initiée par M.Emch.
C’est lui qui a contacté Olivier Mosset, une figure tutélaire de l’art abstrait, historique même depuis sa participation au groupe B.M.P.T — fondé à Paris en décembre 1966 par Daniel Buren, Olivier Mosset, Michel Parmentier et Niele Toroni.
Le fait est que, jusqu’à maintenant, l’artiste suisse n’avait réalisé d’objet, et encore moins une montre ! Ce qui rend cette édition limitée à 178 exemplaires, encore plus rare et unique.
C’est lui qui a contacté Olivier Mosset, une figure tutélaire de l’art abstrait, historique même depuis sa participation au groupe B.M.P.T — fondé à Paris en décembre 1966 par Daniel Buren, Olivier Mosset, Michel Parmentier et Niele Toroni.
Le fait est que, jusqu’à maintenant, l’artiste suisse n’avait réalisé d’objet, et encore moins une montre ! Ce qui rend cette édition limitée à 178 exemplaires, encore plus rare et unique.
Pour autant, quand Manuel Emch lui a proposé cette aventure, il s’est laissé faire, avec amusement et une pointe, peut-être de nostalgie. En effet, l’artiste a grandi dans le Val-de-Ruz, dans les terres horlogères du canton de Neuchâtel et son grand-père fut lié à l’histoire d’Ébauches SA !
Pour cette collab’, Olivier Mosset s’est reposé sur ses références de biker : « ce qui m’amuse dans la montre, c’est son côté accessoire, une montre ne sert à rien aujourd’hui. Ça me rappelle la scène d’Easy Rider, quand ils viennent d’acheter leurs motos et s’apprêtent à partir, Peter Fonda enlève sa montre et la jette ». Born to be wild ! Dans le Jura suisse.
Dans cette nouveauté, tout est noir : boite, bracelet et aiguilles. Une œuvre sans inscription et sans logo. Seul le cadran laqué noir contraste, semé de paillettes argentées. Les aiguilles sont des bâtons, heure, minute, seconde, trois fois les mêmes, même longueur, même largeur, mêmes arrondis aux extrémités.
Pour cette collab’, Olivier Mosset s’est reposé sur ses références de biker : « ce qui m’amuse dans la montre, c’est son côté accessoire, une montre ne sert à rien aujourd’hui. Ça me rappelle la scène d’Easy Rider, quand ils viennent d’acheter leurs motos et s’apprêtent à partir, Peter Fonda enlève sa montre et la jette ». Born to be wild ! Dans le Jura suisse.
Dans cette nouveauté, tout est noir : boite, bracelet et aiguilles. Une œuvre sans inscription et sans logo. Seul le cadran laqué noir contraste, semé de paillettes argentées. Les aiguilles sont des bâtons, heure, minute, seconde, trois fois les mêmes, même longueur, même largeur, mêmes arrondis aux extrémités.
À un détail près : la taille du trou qui en indique le sens, indication minimaliste, juste de quoi ne pas perdre complètement le sens de lecture. Ni les pédales !
Cette montre s’annonce comme une « abstraction ». Le fait est que c’est la plus « jusqu’auboutiste » de collaborations Louis Erard jusqu’à ce jour.
Il s’agit en réalité d’une réinterprétation géométrique et minimaliste du fameux régulateur (complication phare de la marque), dont les trois aiguilles -minute au centre, heure en haut, seconde en bas- sont séparées mécaniquement, ce qui, en temps normal, améliore la précision et la lisibilité. Certes, ce n’est clairement pas la fonction première de cette « œuvre d’heure »…
Chacun de ces 178 garde-temps (avec calibre automatique base Sellita) est accompagné d’un scellé rouge comportant la mention « work of art – do not wear ». Deux bracelets interchangeables complètent l’écrin dont un signé de la main de l’artiste. Naturellement, on le sait maintenant, d’autres collaborations sont à venir, artistes, artisans, horlogers indépendants. Affaire à suivre.
Cette montre s’annonce comme une « abstraction ». Le fait est que c’est la plus « jusqu’auboutiste » de collaborations Louis Erard jusqu’à ce jour.
Il s’agit en réalité d’une réinterprétation géométrique et minimaliste du fameux régulateur (complication phare de la marque), dont les trois aiguilles -minute au centre, heure en haut, seconde en bas- sont séparées mécaniquement, ce qui, en temps normal, améliore la précision et la lisibilité. Certes, ce n’est clairement pas la fonction première de cette « œuvre d’heure »…
Chacun de ces 178 garde-temps (avec calibre automatique base Sellita) est accompagné d’un scellé rouge comportant la mention « work of art – do not wear ». Deux bracelets interchangeables complètent l’écrin dont un signé de la main de l’artiste. Naturellement, on le sait maintenant, d’autres collaborations sont à venir, artistes, artisans, horlogers indépendants. Affaire à suivre.