Pas facile ces temps-ci pour les jeunes marques de résister à la morosité horlogère ambiante… Pour autant, trois ans après son lancement, après des hauts et quelques bas, Triton et ses montres de plongée d’inspiration vintage, sont toujours là et c’est tant mieux.
Afin de conforter la présence de son modèle Subphotique –le seul en collection chez Triton d’ailleurs- sur le marché, la marque vient de présenter un tout nouveau modèle qui convient parfaitement à l’esprit vintage de cette « plongeuse ».
A l’origine, la Triton fut conçue en 1962 (une dizaine d’années après la Fifty Fathoms et la Submariner) par Jean René Parmentier, un ancien colonel de l'armée de l'Air française passionné d'horlogerie qui imagina cette « plongeuse » pour le compte de la Spirotechnique, société fondée en 1946 par le célèbre commandant Cousteau ! Son emblématique protège-couronne (breveté) avait pour but d’éviter les accidents lors de plongée.
La Triton Spirotechnique arrive sur le marché un an après sa création, en 1963. On estime qu’elle sera commercialisée jusqu’au début des années 70. Sept ans donc. A l’époque, elle n’était distribuée que dans les magasins de plongée et de la Spirotechnique et était plus chère qu’une Rolex Submariner ! Cette montre était reconnaissable au premier coup d’œil grâce à son design si singulier, à sa couronne à midi et son protège-couronne articulé fixé au boîtier.
Afin de conforter la présence de son modèle Subphotique –le seul en collection chez Triton d’ailleurs- sur le marché, la marque vient de présenter un tout nouveau modèle qui convient parfaitement à l’esprit vintage de cette « plongeuse ».
A l’origine, la Triton fut conçue en 1962 (une dizaine d’années après la Fifty Fathoms et la Submariner) par Jean René Parmentier, un ancien colonel de l'armée de l'Air française passionné d'horlogerie qui imagina cette « plongeuse » pour le compte de la Spirotechnique, société fondée en 1946 par le célèbre commandant Cousteau ! Son emblématique protège-couronne (breveté) avait pour but d’éviter les accidents lors de plongée.
La Triton Spirotechnique arrive sur le marché un an après sa création, en 1963. On estime qu’elle sera commercialisée jusqu’au début des années 70. Sept ans donc. A l’époque, elle n’était distribuée que dans les magasins de plongée et de la Spirotechnique et était plus chère qu’une Rolex Submariner ! Cette montre était reconnaissable au premier coup d’œil grâce à son design si singulier, à sa couronne à midi et son protège-couronne articulé fixé au boîtier.
La Triton fut l’une des premières montres de plongée à supporter une profondeur de 200 mètres. C’est pourquoi différentes marines militaires (dont celle de la France) l’adoptèrent. A noter qu’à la même époque, la Marine s’équipait également chez Tudor.
La Triton version contemporaine conserve sa couronne à midi et son protège-couronne articulé (ce qui lui permet d’être aussi à l’aise chez les gauchers que les droitiers). Elle est équipée d’une valve à hélium et affiche une étanchéité à 500 mètres de profondeur… D’où son nom de subphotique, un néologisme qui désigne la zone où la lumière disparaît totalement sous l’eau – au-delà des 200 mètres de profondeur. Sachant que la plupart des plongeurs ne descendent pas à plus de 60 mètres, vous avez de la marge.
Cette version mécanique Swiss Made actuelle respecte les codes esthétiques de la Triton initiale : boîtier acier dont le diamètre s’agrandit légèrement afin de respecter les canons actuels (37-39 mm à 40-41 mm), typographie très spéciale de lunette graduée (chiffre des dizaines plus grand que celui des unités - 10/20/30) pour une meilleure visibilité sous l’eau, guichet avec quantième à 3h et aiguilles ultra-lisibles.
A noter que contrairement aux versions précédentes et pour la première fois, la Subphotique est proposée avec un nouveau verre saphir bombé. Il ne s’agit pas d’un saphir qui reproduit la forme d’un vieux plexi mais d’un saphir cheminé arrondi de 3mm d’épaisseur (1,5mm pour la lunette en verre saphir elle aussi).
La Triton version contemporaine conserve sa couronne à midi et son protège-couronne articulé (ce qui lui permet d’être aussi à l’aise chez les gauchers que les droitiers). Elle est équipée d’une valve à hélium et affiche une étanchéité à 500 mètres de profondeur… D’où son nom de subphotique, un néologisme qui désigne la zone où la lumière disparaît totalement sous l’eau – au-delà des 200 mètres de profondeur. Sachant que la plupart des plongeurs ne descendent pas à plus de 60 mètres, vous avez de la marge.
Cette version mécanique Swiss Made actuelle respecte les codes esthétiques de la Triton initiale : boîtier acier dont le diamètre s’agrandit légèrement afin de respecter les canons actuels (37-39 mm à 40-41 mm), typographie très spéciale de lunette graduée (chiffre des dizaines plus grand que celui des unités - 10/20/30) pour une meilleure visibilité sous l’eau, guichet avec quantième à 3h et aiguilles ultra-lisibles.
A noter que contrairement aux versions précédentes et pour la première fois, la Subphotique est proposée avec un nouveau verre saphir bombé. Il ne s’agit pas d’un saphir qui reproduit la forme d’un vieux plexi mais d’un saphir cheminé arrondi de 3mm d’épaisseur (1,5mm pour la lunette en verre saphir elle aussi).
Un nouveau cadran apparait également sous ce verre bombé. Les index des heures « s’éloignent » de la minuterie par rapport aux cadrans précédents. A noter également qu’une ligne de texte (Automatic) disparaît à 6h pour ne laisser figurer que le nom et la profondeur en mètres et en pieds à laquelle la montre peut descendre...
Les décalques du cadran noir mat ne sont plus blancs mais « gilt » (« doré poudré »), ce qui explique son nom d’Heritage et renforce l’aspect vintage de cette édition limitée. De fait, les index des heures ainsi que ses aiguilles dorés (très caractéristiques et très sixties-seventies) sont comme sur la bague de lunette, recouverts de Superluminova de type « old radium » d’une teinte crème très claire.
A noter la présence d’une lunette crantée (60 dents –une par minute- pour être conforme à la norme plongée) en et d’une couronne ornée du logo Triton aux deux ancres inversées. Cette Triton moderne est animée par un calibre mécanique automatique (base Soprod A10-2).
Disponible sur un nouveau bracelet en caoutchouc, bracelet acier ou tissu de type NATO. Dans ce dernier cas, le tissu de couleur bordeaux travaillé avec un tissage différent sur sa partie centrale. Les passants reprennent le dessin de la boucle ardillon avec une finition polie satinée. Enfin, la Subphotique Héritage est proposée dans un nouvel écrin en cuir noir de type « travel case » zippé qui joint l'utile à l'agréable en cas de déplacement.
Soulignons une garantie de cinq ans (c'est rare chez les indépendants, il faut donc le souligner). Série limitée à 63 exemplaires, un chiffre qui vient rappeler l’année de naissance de ce modèle de plongée mythique. A partir de 4.690 euros selon la version.
Les décalques du cadran noir mat ne sont plus blancs mais « gilt » (« doré poudré »), ce qui explique son nom d’Heritage et renforce l’aspect vintage de cette édition limitée. De fait, les index des heures ainsi que ses aiguilles dorés (très caractéristiques et très sixties-seventies) sont comme sur la bague de lunette, recouverts de Superluminova de type « old radium » d’une teinte crème très claire.
A noter la présence d’une lunette crantée (60 dents –une par minute- pour être conforme à la norme plongée) en et d’une couronne ornée du logo Triton aux deux ancres inversées. Cette Triton moderne est animée par un calibre mécanique automatique (base Soprod A10-2).
Disponible sur un nouveau bracelet en caoutchouc, bracelet acier ou tissu de type NATO. Dans ce dernier cas, le tissu de couleur bordeaux travaillé avec un tissage différent sur sa partie centrale. Les passants reprennent le dessin de la boucle ardillon avec une finition polie satinée. Enfin, la Subphotique Héritage est proposée dans un nouvel écrin en cuir noir de type « travel case » zippé qui joint l'utile à l'agréable en cas de déplacement.
Soulignons une garantie de cinq ans (c'est rare chez les indépendants, il faut donc le souligner). Série limitée à 63 exemplaires, un chiffre qui vient rappeler l’année de naissance de ce modèle de plongée mythique. A partir de 4.690 euros selon la version.