Tous les ans à peu près la même période, de nombreux horlogers (Chopard, Jaeger-LeCoultre, Arnold & Son, Piaget, IWC, Swatch, Blancpain et bien d’autres) rendent hommage au nouvel an chinois avec la création de pièces d’exception.
Alors que l’année du dragon se rapproche à grand pas, c’est donc au tour de Breguet de présenter deux éditions spéciales et limitées « Année du Dragon ». En voici déjà, la première référence.
Il s’agit cette année, du dragon de bois. Dans cet élément, le dragon annonce la détermination calme, l’ardeur naturelle du grand reptile se trouvant tempérée ici par le bois. Généralement c'est une année de questionnements et de contrôle. Elle est aussi placée sous le signe de la négociation et de la générosité.
Toute l’habileté des artisans Breguet se retrouve dans cette nouvelle création. Tout d’abord, le cadran
de couleur rouge vermeil, dont les teintes varient entre le tour d’heures et le centre, est réalisé avec une
technique que peu d’artisans pratiquent encore aujourd’hui : l’émail « grand feu ».
Ce savoir-faire séculaire requiert une grande virtuosité afin de maîtriser la vaste palette de couleurs et d’en faire résulter des nuances de camaïeu ; pour obtenir cette texture, l’artisan mélange de la silice
avec des oxydes qu’il applique ensuite sur le cadran de la montre.
Celui-ci est ensuite déposé plusieurs fois dans un four à très haute température. Au contact de la chaleur, l’émail s’enflamme et fond. Une opération très délicate durant laquelle le cadran est susceptible de se briser.
Le dragon, se dressant fièrement sur le cadran, est une applique en or rose entièrement gravée à la
main. L’animal fantastique à la posture majestueuse garde toujours un œil attentif sur sa perle, faite en
nacre naturelle blanche.
Les chiffres romains, la minuterie ainsi que les nuages arborent une teinte dorée rose poudré. Le tour d’heures est pour sa part ponctué par douze discrets index ronds en or. Enfin, l’heure est indiquée grâce aux aiguilles Breguet (forcémennt) à « pomme évidée », l’une des signatures de la maison suisse.
Dans une boîte en or rose de 40 mm (étanche à 30 mètres) bat le calibre 502.3 (3 Hz), heures et minutes. Avec son épaisseur de 2,40 mm, il reste à l’heure actuelle l’un des plus plats de chez Breguet. Les 162 composants de ce mouvement à remontage automatique offrent au garde-temps 45 heures d’autonomie.
Celui-ci est équipé d’un spiral ainsi que d’une ancre en silicium. Les propriétés du silicium sont multiples : en plus d’être résistant à la corrosion ainsi qu’à l’usure, il est insensible à l’influence des champs magnétiques et améliore la précision du garde-temps.
À travers le fond saphir du garde-temps, la masse oscillante en or guillochée à la main d’un motif grain d’orge circulaire se laisse admirer. Cette édition très limitée se porte sur un bracelet en alligator marron.
Alors que l’année du dragon se rapproche à grand pas, c’est donc au tour de Breguet de présenter deux éditions spéciales et limitées « Année du Dragon ». En voici déjà, la première référence.
Il s’agit cette année, du dragon de bois. Dans cet élément, le dragon annonce la détermination calme, l’ardeur naturelle du grand reptile se trouvant tempérée ici par le bois. Généralement c'est une année de questionnements et de contrôle. Elle est aussi placée sous le signe de la négociation et de la générosité.
Toute l’habileté des artisans Breguet se retrouve dans cette nouvelle création. Tout d’abord, le cadran
de couleur rouge vermeil, dont les teintes varient entre le tour d’heures et le centre, est réalisé avec une
technique que peu d’artisans pratiquent encore aujourd’hui : l’émail « grand feu ».
Ce savoir-faire séculaire requiert une grande virtuosité afin de maîtriser la vaste palette de couleurs et d’en faire résulter des nuances de camaïeu ; pour obtenir cette texture, l’artisan mélange de la silice
avec des oxydes qu’il applique ensuite sur le cadran de la montre.
Celui-ci est ensuite déposé plusieurs fois dans un four à très haute température. Au contact de la chaleur, l’émail s’enflamme et fond. Une opération très délicate durant laquelle le cadran est susceptible de se briser.
Le dragon, se dressant fièrement sur le cadran, est une applique en or rose entièrement gravée à la
main. L’animal fantastique à la posture majestueuse garde toujours un œil attentif sur sa perle, faite en
nacre naturelle blanche.
Les chiffres romains, la minuterie ainsi que les nuages arborent une teinte dorée rose poudré. Le tour d’heures est pour sa part ponctué par douze discrets index ronds en or. Enfin, l’heure est indiquée grâce aux aiguilles Breguet (forcémennt) à « pomme évidée », l’une des signatures de la maison suisse.
Dans une boîte en or rose de 40 mm (étanche à 30 mètres) bat le calibre 502.3 (3 Hz), heures et minutes. Avec son épaisseur de 2,40 mm, il reste à l’heure actuelle l’un des plus plats de chez Breguet. Les 162 composants de ce mouvement à remontage automatique offrent au garde-temps 45 heures d’autonomie.
Celui-ci est équipé d’un spiral ainsi que d’une ancre en silicium. Les propriétés du silicium sont multiples : en plus d’être résistant à la corrosion ainsi qu’à l’usure, il est insensible à l’influence des champs magnétiques et améliore la précision du garde-temps.
À travers le fond saphir du garde-temps, la masse oscillante en or guillochée à la main d’un motif grain d’orge circulaire se laisse admirer. Cette édition très limitée se porte sur un bracelet en alligator marron.