En intégrant à la gamme Ingenieur, une collection dédiée aux véhicules historiques et à l’histoire de l’Automobile, IWC confirme son intention d’être présent dans un secteur qui est nouveau pour elle. Après la première édition du Members’ Meeting où IWC n’avait présenté qu’un seul modèle, cette année ce sont trois montres totalement nouvelles et appartenant à la collection Ingenieur qui viennent renforcer l’engagement de la marque auprès des amateurs de véhicules d’époque.
Trois pièces qui sont un triple hommage associé chacun à une image de l’automobile : à un événement (Members’ Meeting Goodwood), à un homme (Rudy Caracciola) et à une voiture (la Mercedes Benz W125). Il s’agit de trois chronographes réalisés dans trois matériaux différents : acier, titane et or. Tous les trois équipés du mouvement 69370 qui est la première évolution du nouveau calibre maison 69000.
Avec un dessin classique et élégant, ils confirment le désir de Georges Kern de s’appuyer sur le raffinement des évènements automobiles vintage. C’est Christian Knoop, le responsable du design chez IWC qui a conçu cette boîte en hommage au modèle original de l’Ingénieur sorti en 1955 sous la référence 666.
Trois pièces qui sont un triple hommage associé chacun à une image de l’automobile : à un événement (Members’ Meeting Goodwood), à un homme (Rudy Caracciola) et à une voiture (la Mercedes Benz W125). Il s’agit de trois chronographes réalisés dans trois matériaux différents : acier, titane et or. Tous les trois équipés du mouvement 69370 qui est la première évolution du nouveau calibre maison 69000.
Avec un dessin classique et élégant, ils confirment le désir de Georges Kern de s’appuyer sur le raffinement des évènements automobiles vintage. C’est Christian Knoop, le responsable du design chez IWC qui a conçu cette boîte en hommage au modèle original de l’Ingénieur sorti en 1955 sous la référence 666.
Sur le modèle contemporain, la boîte de 42mm de diamètre possède un fond saphir qui permet de voir le mouvement automatique de 30mm de diamètre. Un « moteur » qui possède une réserve de marche de 46 heures et un boitier étanche à 6 bars. Des performances classiques que l’on retrouve dans la plupart des motorisations de ce type de montre tout comme la fréquence de 4 Hertz.
Pour ces trois nouveautés, IWC a choisi de les produire en édition limitée. Ainsi la « 74th Members’ Meeting » ne sera produite qu’à 74 exemplaires numérotés avec une boîte en or rose qui contraste avec son cadran noir. Avec une boîte en titane et un cadran argenté, « l’Edition W125 » sera réalisée à 750 exemplaires tout comme la « Rudolf Caracciola ». Si cette dernière se contente d’une boîte en acier, on est séduit par son cadran ardoise particulièrement chic et élégant.
Chacune de ces trois montres est associée à un bracelet en veau dont les surpiqûres apparentes dessinent un motif qui est un rappel à la sellerie des automobiles des années 50 et 60. En restant dans le cadre d’un classicisme rigoureux, IWC a réussi le pari de présenter des montres qui se distinguent par leur élégance. Avec ces trois nouveaux modèles dédiés à l’histoire de l’automobile, la famille Ingénieur s’oriente vers une direction où le patrimoine tient une place prépondérante, appelé à s’établir dans la continuité.
Pour ces trois nouveautés, IWC a choisi de les produire en édition limitée. Ainsi la « 74th Members’ Meeting » ne sera produite qu’à 74 exemplaires numérotés avec une boîte en or rose qui contraste avec son cadran noir. Avec une boîte en titane et un cadran argenté, « l’Edition W125 » sera réalisée à 750 exemplaires tout comme la « Rudolf Caracciola ». Si cette dernière se contente d’une boîte en acier, on est séduit par son cadran ardoise particulièrement chic et élégant.
Chacune de ces trois montres est associée à un bracelet en veau dont les surpiqûres apparentes dessinent un motif qui est un rappel à la sellerie des automobiles des années 50 et 60. En restant dans le cadre d’un classicisme rigoureux, IWC a réussi le pari de présenter des montres qui se distinguent par leur élégance. Avec ces trois nouveaux modèles dédiés à l’histoire de l’automobile, la famille Ingénieur s’oriente vers une direction où le patrimoine tient une place prépondérante, appelé à s’établir dans la continuité.
Georges Kern, le président de la marque, nous confirmant que le Members’Meeting de Goodwood sera l’occasion de dévoiler chaque année trois hommages à l’automobile. Amateur de belles voitures et voulant profiter de l’exposition de la vente Bonhams et plutôt que de nous accorder une interview formelle, il préféra que nous allions voir les voitures en vente tout en parlant occasionnellement d’horlogerie.
Ainsi entre deux réflexions sur l’originalité de la Maserati Khamsin dessinée par Gandini et produite par Bertone estimée à 100 000£, il me confirma que des trois évènements automobiles de Goodwood, seul le Members’Meeting lui convenait, et que même s’il avait la possibilité d’être présent au Festival of Speed ou au Revival, il ne le ferait pas.
Pour Georges Kern, la présence d’IWC serait alors trop diluée.
Quelques pas plus loin, séduit par une autre Maserati, une 3500 GT Coupé, il me confiait qu’au travers de cette présence au M’M, c’est la qualité de l’événement qui était prioritaire. Sans oublier, bien sûr, la visibilité ultérieure de celui-ci. En effet l’utilisation du retour est primordiale pour apporter de l’histoire à cette nouvelle collection.
Délaissant la 3500GT qui avouait ses faiblesses au travers d’une peinture largement cloquée au pied du pilier B et aux entourages de vitres, on passait rapidement devant une Mercedes Benz 300 SL Gullwing au prix prohibitif ainsi que devant une importante série de Jaguar Type E pour se concerter à propos d’une 280 SL « pagode » en bel état mais néanmoins proposée à 100 000 £.
Agréablement surpris de l’importance et de la diversité du public britannique pour ces courses ainsi que du nombre de personnes qui achète le catalogue Bonhams afin de visiter l’exposition de la vente, Georges Kern évoque la suite logique de son engagement dans l’automobile ancienne. Dans l’immédiat, le patron d’IWC est très tenté par un partenariat avec un concours d’élégance. Une remarque faite en admirant un superbe coupé Indy. Encore une Maserati ! Il y a de fortes chances que la marque italienne fasse son entrée dans sa collection naissante.
En revanche, au vu de la remarque sur le style du coupé Testarossa, il est clair qu’elle n’a aucune chance de le convaincre, tout comme les Aston martin, une marque qui, visiblement, lui a laissé quelques mauvais souvenirs. Néophyte, mais avec un grand désir de pénétrer cet univers, George Kern est comme dans son activité horlogère, un homme de passion qui aime aller jusqu’au bout de celle-ci. Avec cette nouvelle collection, il vient de créer de futures classiques.
Joël Chassaing-Cuvillier
Ainsi entre deux réflexions sur l’originalité de la Maserati Khamsin dessinée par Gandini et produite par Bertone estimée à 100 000£, il me confirma que des trois évènements automobiles de Goodwood, seul le Members’Meeting lui convenait, et que même s’il avait la possibilité d’être présent au Festival of Speed ou au Revival, il ne le ferait pas.
Pour Georges Kern, la présence d’IWC serait alors trop diluée.
Quelques pas plus loin, séduit par une autre Maserati, une 3500 GT Coupé, il me confiait qu’au travers de cette présence au M’M, c’est la qualité de l’événement qui était prioritaire. Sans oublier, bien sûr, la visibilité ultérieure de celui-ci. En effet l’utilisation du retour est primordiale pour apporter de l’histoire à cette nouvelle collection.
Délaissant la 3500GT qui avouait ses faiblesses au travers d’une peinture largement cloquée au pied du pilier B et aux entourages de vitres, on passait rapidement devant une Mercedes Benz 300 SL Gullwing au prix prohibitif ainsi que devant une importante série de Jaguar Type E pour se concerter à propos d’une 280 SL « pagode » en bel état mais néanmoins proposée à 100 000 £.
Agréablement surpris de l’importance et de la diversité du public britannique pour ces courses ainsi que du nombre de personnes qui achète le catalogue Bonhams afin de visiter l’exposition de la vente, Georges Kern évoque la suite logique de son engagement dans l’automobile ancienne. Dans l’immédiat, le patron d’IWC est très tenté par un partenariat avec un concours d’élégance. Une remarque faite en admirant un superbe coupé Indy. Encore une Maserati ! Il y a de fortes chances que la marque italienne fasse son entrée dans sa collection naissante.
En revanche, au vu de la remarque sur le style du coupé Testarossa, il est clair qu’elle n’a aucune chance de le convaincre, tout comme les Aston martin, une marque qui, visiblement, lui a laissé quelques mauvais souvenirs. Néophyte, mais avec un grand désir de pénétrer cet univers, George Kern est comme dans son activité horlogère, un homme de passion qui aime aller jusqu’au bout de celle-ci. Avec cette nouvelle collection, il vient de créer de futures classiques.
Joël Chassaing-Cuvillier