On le sait, le détaillant horloger Emile Leon aime faire découvrir à sa clientèle des marques peu connues et/ou encore peu présentes sur le marché français.
Un rôle de « découvreur de talent » qu’il pratique depuis huit ans déjà avec une offre horlogère très large, une quarantaine de marques qui va de Frédérique Constant à Beaubleu en passant par Seiko, Longines, ZRC, MeisterSinger, MATWatches, Michel Herbelin, Hamilton, Zodiac, Maurice Lacroix, Oris, etc.
En quelques années, grâce à cette offre qui a su trouver un bel équilibre entre grands noms et marques plus confidentielles, Emile Léon a su séduire une clientèle de fidèles qui aime l’ambiance « bon enfant » de ses deux boutiques, où il fait bon découvrir et essayer les dernières nouveautés horlogères.
Toujours à l’affut de garde-temps d’un bon rapport qualité-prix, Emile Léon vient de référencer la marque horlogère Squale (en exclu pour Paris), bien connue des amateurs de montres de plongée, mais encore relativement peu développée auprès du grand public.
Un rôle de « découvreur de talent » qu’il pratique depuis huit ans déjà avec une offre horlogère très large, une quarantaine de marques qui va de Frédérique Constant à Beaubleu en passant par Seiko, Longines, ZRC, MeisterSinger, MATWatches, Michel Herbelin, Hamilton, Zodiac, Maurice Lacroix, Oris, etc.
En quelques années, grâce à cette offre qui a su trouver un bel équilibre entre grands noms et marques plus confidentielles, Emile Léon a su séduire une clientèle de fidèles qui aime l’ambiance « bon enfant » de ses deux boutiques, où il fait bon découvrir et essayer les dernières nouveautés horlogères.
Toujours à l’affut de garde-temps d’un bon rapport qualité-prix, Emile Léon vient de référencer la marque horlogère Squale (en exclu pour Paris), bien connue des amateurs de montres de plongée, mais encore relativement peu développée auprès du grand public.
Pourtant, Squale est un acteur historique du monde de l’horlogerie. La marque fut lancée en Suisse, à Neuchâtel dès 1950 par le couple von Buren... Visionnaires, ils s’intéressèrent très tôt à la montre de plongée avant de connaitre de beaux succès commerciaux dans les années 70 avec la Master 50 atm qui fut portée, entre autre, par Jacques Mayol.
La montre de plongée naît dans les années 50, plus précisément en 1953 avec l’arrivée des Fifty Fathoms chez Blancpain immédiatement suivies de la Submariner de Rolex. C’est l’époque où l’on commence à découvrir et explorer les fonds sous-marins grâce aux équipements de plongée qui se perfectionnent…
1950, c’est aussi la date de la création de la société Buren SA, créée à Neuchâtel en Suisse par Charles et Hélène von Buren. Le couple commence par fabriquer des boitiers pour les autres grandes marques horlogères avant de lancer leur propre label, Squale en 1959.
La montre de plongée naît dans les années 50, plus précisément en 1953 avec l’arrivée des Fifty Fathoms chez Blancpain immédiatement suivies de la Submariner de Rolex. C’est l’époque où l’on commence à découvrir et explorer les fonds sous-marins grâce aux équipements de plongée qui se perfectionnent…
1950, c’est aussi la date de la création de la société Buren SA, créée à Neuchâtel en Suisse par Charles et Hélène von Buren. Le couple commence par fabriquer des boitiers pour les autres grandes marques horlogères avant de lancer leur propre label, Squale en 1959.
Dès le départ, ils se spécialisent dans la montre de plongée. À l’époque, ces « plongeuses » étaient les seuls instruments qui permettaient de calculer les temps d’immersion sous-marine, une fonction qui pouvait s’avérer vitale pour les plongeurs ! De fait, ces garde-temps étaient considérés comme « l’accessoire » technique le plus important pour assurer la sécurité des hommes-grenouilles.
Visionnaires, ils sentent qu’il existe là un formidable marché en plein devenir. Et ils auront raison… Petit à petit, la plongée devient un loisir à part entière et séduit de plus en plus la génération des jeunes baby-boomers qui, suite au formidable succès du Monde du silence de Cousteau, se laisse séduire par les profondeurs sous-marines.
C’est en 1968 que les montres Squale deviennent véritablement légendaires, lorsque le champion du monde remporta son titre à Cuba avec au poignet la Master 50 atm de chez Squale. Dans les années 1970, la marque commercialise la toute première montre étanche à 1.000 mètres avec à l’époque, un verre saphir monté sur un support flexible et une lunette bidirectionnelle à pression.
Visionnaires, ils sentent qu’il existe là un formidable marché en plein devenir. Et ils auront raison… Petit à petit, la plongée devient un loisir à part entière et séduit de plus en plus la génération des jeunes baby-boomers qui, suite au formidable succès du Monde du silence de Cousteau, se laisse séduire par les profondeurs sous-marines.
C’est en 1968 que les montres Squale deviennent véritablement légendaires, lorsque le champion du monde remporta son titre à Cuba avec au poignet la Master 50 atm de chez Squale. Dans les années 1970, la marque commercialise la toute première montre étanche à 1.000 mètres avec à l’époque, un verre saphir monté sur un support flexible et une lunette bidirectionnelle à pression.
Le succès de ces plongeuses est immédiat et de nombreux plongeurs de légende se les approprient tels que Jacques Mayol, Enzo Maiorca ou les soeurs Treleani. Tous en étaient des adeptes. Parallèlement la société continuait de fournir des boitiers à d’autres marques horlogères puis commença aussi à vendre ses montres à de nombreux corps militaires d’élite tels que la brigade de parachutistes Folgore ou les plongeurs de la marine italienne, renforçant ainsi le mythe de Squale.
Aujourd’hui, la marque existe toujours et produit encore des montres de plongée « dignes des plus grandes ». Parmi ses modèles « phares » : la 50 Atmos, la Matic, la Tiger, la 101 Atmos et la Master. Toutes ces montres sont « Swiss made » et embarquent des calibres de chez ETA. Solides, fiables et résistantes, elles séduisent ceux qui souhaitent une « vraie plongeuse » à un prix raisonnable.
Les boîtiers sont fabriqués à partir d’acier 316L d’origine suisse tout comme le reste des composants (couronnes, joints, etc.). Point important à souligner : tous les garde-temps de la marque Squale sont assemblés à la main par des maîtres horlogers puis sont ensuite soumis à de rigoureux tests de qualité afin d’assurer étanchéité et précision. Et ce, non pas par échantillon ! Chaque montre est en effet testée puis certifiée.
La marque est donc désormais disponible dans l’une des rues les plus chics de Paris, au numéro 8 de la rue Royale, chez Emile Leon.
Aujourd’hui, la marque existe toujours et produit encore des montres de plongée « dignes des plus grandes ». Parmi ses modèles « phares » : la 50 Atmos, la Matic, la Tiger, la 101 Atmos et la Master. Toutes ces montres sont « Swiss made » et embarquent des calibres de chez ETA. Solides, fiables et résistantes, elles séduisent ceux qui souhaitent une « vraie plongeuse » à un prix raisonnable.
Les boîtiers sont fabriqués à partir d’acier 316L d’origine suisse tout comme le reste des composants (couronnes, joints, etc.). Point important à souligner : tous les garde-temps de la marque Squale sont assemblés à la main par des maîtres horlogers puis sont ensuite soumis à de rigoureux tests de qualité afin d’assurer étanchéité et précision. Et ce, non pas par échantillon ! Chaque montre est en effet testée puis certifiée.
La marque est donc désormais disponible dans l’une des rues les plus chics de Paris, au numéro 8 de la rue Royale, chez Emile Leon.