C’est l’horloger Daniel Nebel, installé dans le nord de la Suisse, qui a imaginé il y a plus d’une dizaine d’années, cette montre Variocurve tout à fait exceptionnelle.
En effet, après avoir retravaillé un calibre ETA 2824 de base, il est parvenu à rendre l’aiguille des minutes un peu folle, puisqu’elle ne tourne plus rond mais évolue selon une courbe en forme de… banane. Quant aux heures, elles apparaissent à 8h30 et la date à 4h30. De la très belle mécanique.
Daniel Nebel. L’homme fait tout à la main. Tout seul. Avec passion. Dans son atelier suisse. Il a commencé à s’intéresser à l’horlogerie en 1995, mais sa marque Nord Zeitmaschine est née quelques années plus tard, en 1998.
En effet, après avoir retravaillé un calibre ETA 2824 de base, il est parvenu à rendre l’aiguille des minutes un peu folle, puisqu’elle ne tourne plus rond mais évolue selon une courbe en forme de… banane. Quant aux heures, elles apparaissent à 8h30 et la date à 4h30. De la très belle mécanique.
Daniel Nebel. L’homme fait tout à la main. Tout seul. Avec passion. Dans son atelier suisse. Il a commencé à s’intéresser à l’horlogerie en 1995, mais sa marque Nord Zeitmaschine est née quelques années plus tard, en 1998.
Son moto ? Proposer des montres avec une aiguille des minutes différente, évoluant selon des tracés un peu fous !
Dans ce modèle Variocurve, présenté en 2013, Daniel Nebel parvient à imposer à l’aiguille des minutes, une course totalement décalée puisque schématiquement, elle parcourt les soixante minutes en suivant un tracé qui pourrait ressembler à une… banane !
De fait, l’imposante aiguille des minutes dorée (qui n’est pas sans rappeler le bras d’un derrick), évolue sur un rouage qui lui impose ce cheminement tout en courbe.
Dans ce modèle Variocurve, présenté en 2013, Daniel Nebel parvient à imposer à l’aiguille des minutes, une course totalement décalée puisque schématiquement, elle parcourt les soixante minutes en suivant un tracé qui pourrait ressembler à une… banane !
De fait, l’imposante aiguille des minutes dorée (qui n’est pas sans rappeler le bras d’un derrick), évolue sur un rouage qui lui impose ce cheminement tout en courbe.
A noter que l’aiguille ne quitte jamais la partie supérieure du cadran et que l’indication des minutes est complétée par deux disques latéraux (à droite 10/20 mn – à gauche 45/50 mn).
Quant à l’heure, elle s’affiche de manière trainante par le biais d’un disque situé à 8h30 et la date est placée à 4h30 (voir la vidéo ci-dessous, beaucoup plus explicite).
La montre est dotée d’un boitier en acier de 43.6 mm relativement épais (15.8 mm) qui abrite donc un calibre ETA 2824 entièrement modifié (modèle déposé) par Daniel Nebel.
Quant à l’heure, elle s’affiche de manière trainante par le biais d’un disque situé à 8h30 et la date est placée à 4h30 (voir la vidéo ci-dessous, beaucoup plus explicite).
La montre est dotée d’un boitier en acier de 43.6 mm relativement épais (15.8 mm) qui abrite donc un calibre ETA 2824 entièrement modifié (modèle déposé) par Daniel Nebel.
A part le mouvement de base, tous les composants additionnels (rouages, aiguilles et disques) ont été fabriqués artisanalement par Daniel Nebel lui-même. Chapeau !
Une montre totalement hors norme qui devrait séduire les amateurs des belles mécaniques. Totalement bluffant ! Quatre versions furent proposées à l'époque. Il s'agit ici de celle avec "cadran" doré.
A découvrir sur le site Internet Artwatches.com qui propose une sélection de garde-temps très pointue.
Une montre totalement hors norme qui devrait séduire les amateurs des belles mécaniques. Totalement bluffant ! Quatre versions furent proposées à l'époque. Il s'agit ici de celle avec "cadran" doré.
A découvrir sur le site Internet Artwatches.com qui propose une sélection de garde-temps très pointue.
